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Document 62016CA0404
Case C-404/16: Judgment of the Court (Sixth Chamber) of 12 October 2017 (request for a preliminary ruling from the Szegedi Közigazgatási és Munkaügyi Bíróság — Hungary) — Lombard Ingatlan Lízing Zrt. v Nemzeti Adó- és Vámhivatal Fellebbviteli Igazgatóság (Reference for a preliminary ruling — VAT — Directive 2006/112/EC — Article 90(1) — Direct effect — Taxable amount — Reduction in the case of cancellation or refusal — Reduction in the case of total or partial non-payment — Distinction — Financial leasing agreement terminated for non-payment of public charges)
Affaire C-404/16: Arrêt de la Cour (sixième chambre) du 12 octobre 2017 (demande de décision préjudicielle du Szegedi Közigazgatási és Munkaügyi Bíróság — Hongrie) — Lombard Ingatlan Lízing Zrt. / Nemzeti Adó- és Vámhivatal Fellebbviteli Igazgatóság (Renvoi préjudiciel — TVA — Directive 2006/112/CE — Article 90, paragraphe 1 — Effet direct — Base d’imposition — Réduction en cas d’annulation, de résiliation ou de résolution — Réduction en cas de non-paiement total ou partiel — Distinction — Contrat de crédit-bail résilié pour non-paiement des redevances)
Affaire C-404/16: Arrêt de la Cour (sixième chambre) du 12 octobre 2017 (demande de décision préjudicielle du Szegedi Közigazgatási és Munkaügyi Bíróság — Hongrie) — Lombard Ingatlan Lízing Zrt. / Nemzeti Adó- és Vámhivatal Fellebbviteli Igazgatóság (Renvoi préjudiciel — TVA — Directive 2006/112/CE — Article 90, paragraphe 1 — Effet direct — Base d’imposition — Réduction en cas d’annulation, de résiliation ou de résolution — Réduction en cas de non-paiement total ou partiel — Distinction — Contrat de crédit-bail résilié pour non-paiement des redevances)
JO C 412 du 4.12.2017, p. 10–11
(BG, ES, CS, DA, DE, ET, EL, EN, FR, HR, IT, LV, LT, HU, MT, NL, PL, PT, RO, SK, SL, FI, SV)
Affaire C-404/16: Arrêt de la Cour (sixième chambre) du 12 octobre 2017 (demande de décision préjudicielle du Szegedi Közigazgatási és Munkaügyi Bíróság — Hongrie) — Lombard Ingatlan Lízing Zrt. / Nemzeti Adó- és Vámhivatal Fellebbviteli Igazgatóság (Renvoi préjudiciel — TVA — Directive 2006/112/CE — Article 90, paragraphe 1 — Effet direct — Base d’imposition — Réduction en cas d’annulation, de résiliation ou de résolution — Réduction en cas de non-paiement total ou partiel — Distinction — Contrat de crédit-bail résilié pour non-paiement des redevances)
Arrêt de la Cour (sixième chambre) du 12 octobre 2017 (demande de décision préjudicielle du Szegedi Közigazgatási és Munkaügyi Bíróság — Hongrie) — Lombard Ingatlan Lízing Zrt. / Nemzeti Adó- és Vámhivatal Fellebbviteli Igazgatóság
(Affaire C-404/16) ( 1 )
«(Renvoi préjudiciel — TVA — Directive 2006/112/CE — Article 90, paragraphe 1 — Effet direct — Base d’imposition — Réduction en cas d’annulation, de résiliation ou de résolution — Réduction en cas de non-paiement total ou partiel — Distinction — Contrat de crédit-bail résilié pour non-paiement des redevances)»
2017/C 412/17Langue de procédure: le hongroisJuridiction de renvoi
Szegedi Közigazgatási és Munkaügyi Bíróság
Parties dans la procédure au principal
Partie requérante: Lombard Ingatlan Lízing Zrt.
Partie défenderesse: Nemzeti Adó- és Vámhivatal Fellebbviteli Igazgatóság
Dispositif
1) |
Les notions d’«annulation», de «résiliation» et de «résolution» utilisées à l’article 90, paragraphe 1, de la directive 2006/112/CE du Conseil, du 28 novembre 2006, relative au système commun de taxe sur la valeur ajoutée, doivent être interprétées en ce sens qu’elles comprennent le cas où, dans le cadre d’un contrat de crédit-bail à transfert de propriété ferme, le crédit-bailleur ne peut plus réclamer le paiement du loyer au crédit-preneur au motif qu’il a résilié le contrat de crédit-bail pour inexécution de celui-ci par le crédit-preneur. |
2) |
Dans le cas où il a été mis définitivement fin à un contrat de crédit-bail en raison du non-paiement des échéances dues par le crédit-preneur, le crédit-bailleur peut invoquer l’article 90, paragraphe 1, de la directive 2006/112 à l’encontre d’un État membre pour obtenir la réduction de la base d’imposition de la taxe sur la valeur ajoutée, bien que le droit national applicable, d’une part, qualifie un tel cas de «non-paiement» au sens du paragraphe 2 de cet article et, d’autre part, ne permette pas de réduction de la base imposable en cas de non-paiement. |