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Document 91999E000987
WRITTEN QUESTION No. 987/99 by Luigi COLAJANNI , Roberto SPECIALE , Andrea MANZELLA The assassination of the Vice- President of Paraguay
QUESTION ECRITE no 987/99 des députes Luigi COLAJANNI , Roberto SPECIALE , Andrea MANZELLA Assassinat du vice- président du Paraguay
QUESTION ECRITE no 987/99 des députes Luigi COLAJANNI , Roberto SPECIALE , Andrea MANZELLA Assassinat du vice- président du Paraguay
JO C 370 du 21.12.1999, p. 149
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QUESTION ECRITE no 987/99 des députes Luigi COLAJANNI , Roberto SPECIALE , Andrea MANZELLA Assassinat du vice- président du Paraguay
Journal officiel n° C 370 du 21/12/1999 p. 0149
QUESTION ÉCRITE E-0987/99 posée par Luigi Colajanni (PSE) , Roberto Speciale (PSE) et Andrea Manzella (PSE) à la Commission (15 avril 1999) Objet: Assassinat du vice-président du Paraguay Après l'assassinat de Luis Argana, vice-président du Paraguay, perpétré au matin du 23 mars 1999 par un commando de quatre hommes, la Commission peut-elle préciser quelles initiatives l'Union européenne entend-elle prendre pour que le processus démocratique ne s'arrête pas au Paraguay et que l'équilibre constitutionnel soit rétabli avec des garanties appropriées? Réponse donnée par M. Marín au nom de la Commission (3 mai 1999) Suite à l'assassinat du Vice-président du Paraguay, M. Luis Argaña, le Président élu du Paraguay, M. Raúl Cubas, a présenté sa démission. La constitution du Paraguay prévoit que, dans ces circonstances, le Président du Congrès national doit assumer la Présidence de la nation. En accord avec les prévisions institutionnelles, M. Luis Angel González Macchi a assumé le pouvoir. Il a immédiatement nommé un gouvernement d'unité nationale avec les forces démocratiques du Paraguay. C'est la première fois au Paraguay qu'il existe un gouvernement qui n'est pas exclusivement du parti "Colorado", mais qui est intégré aussi par des représentants des partis Libéral et "Encuentro Nacional" (Rencontre Nationale) du centre gauche. Ceci a réveillé un grand espoir dans la jeune démocratie du Paraguay et la Commission est disposée à collaborer, dans le respect de la souveraineté du pays, en vue de la consolidation de ce nouvel espoir.