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Document C2004/217/19

Arrêt de la Cour (quatrième chambre) du 1er juillet 2004 dans l'affaire C-448/03: Commission des Communautés européennes contre République française (Manquement d'État — Défaut de transposition de la directive 98/44/CE)

JO C 217 du 28.8.2004, p. 10–10 (ES, CS, DA, DE, ET, EL, EN, FR, IT, LV, LT, HU, NL, PL, PT, SK, SL, FI, SV)

28.8.2004   

FR

Journal officiel de l'Union européenne

C 217/10


ARRÊT DE LA COUR

(quatrième chambre)

du 1er juillet 2004

dans l'affaire C-448/03: Commission des Communautés européennes contre République française (1)

(Manquement d'État - Défaut de transposition de la directive 98/44/CE)

(2004/C 217/19)

Langue de procédure: le français

Dans l'affaire C-448/03, Commission des Communautés européennes (agent: Mme K. Banks) contre République française (agents: M. G. de Bergues et Mme A. Bodard-Hermant) ayant pour objet de faire constater que, en ne prenant pas les dispositions législatives, réglementaires et administratives nécessaires pour se conformer à la directive 98/44/CE du Parlement européen et du Conseil, du 6 juillet 1998, relative à la protection juridique des inventions biotechnologiques (JO L 213, p. 13), ou, en tout état de cause, en ne communiquant pas lesdites dispositions à la Commission, la République française a manqué aux obligations qui lui incombent en vertu de l'article 15 de ladite directive, la cour (quatrième chambre), composée de M. J. N. Cunha Rodrigues, président de chambre, M. J.-P. Puissochet et Mme F. Macken (rapporteur), juges, avocat général: M. F. G. Jacobs, greffier: M. R. Grass, a rendu le 1er juillet 2004 un arrêt dont le dispositif est le suivant:

1)

En ne prenant pas les dispositions législatives, réglementaires et administratives nécessaires pour se conformer à la directive 98/44/CE du Parlement européen et du Conseil, du 6 juillet 1998, relative à la protection juridique des inventions biotechnologiques, la République française a manqué aux obligations qui lui incombent en vertu de l'article 15 de cette directive.

2)

La République française est condamnée aux dépens.


(1)  JO C 289 du 29.11.2003.


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