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Document 52002XC0615(01)

    Aides d'État — Italie — Aide C 90/2001 (ex NN 163/2001) — Sauvetage et restructuration d'entreprises agricoles en difficulté/volet "aides au sauvetage" — Invitation à présenter des observations en application de l'article 88, paragraphe 2, du traité CE

    JO C 143 du 15.6.2002, p. 2–5 (ES, DA, DE, EL, EN, FR, IT, NL, PT, FI, SV)

    52002XC0615(01)

    Aides d'État — Italie — Aide C 90/2001 (ex NN 163/2001) — Sauvetage et restructuration d'entreprises agricoles en difficulté/volet "aides au sauvetage" — Invitation à présenter des observations en application de l'article 88, paragraphe 2, du traité CE

    Journal officiel n° C 143 du 15/06/2002 p. 0002 - 0005


    Aides d'État - Italie

    Aide C 90/2001 (ex NN 163/2001) - Sauvetage et restructuration d'entreprises agricoles en difficulté/volet "aides au sauvetage"

    Invitation à présenter des observations en application de l'article 88, paragraphe 2, du traité CE

    (2002/C 143/02)

    Par la lettre du 11 décembre 2001, reproduite dans la langue faisant foi dans les pages qui suivent le présent résumé, la Commission a notifié à l'Italie sa décision d'ouvrir la procédure prévue à l'article 88, paragraphe 2, du traité CE concernant l'aide susmentionnée.

    Les parties intéressées peuvent présenter leurs observations sur les aides à l'égard desquelles la Commission ouvre la procédure dans un délai d'un mois à compter de la date de publication du présent résumé et de la lettre qui suit, à l'adresse suivante: Commission européenne Direction générale de l'agriculture

    Direction B2

    B - 1049 Bruxelles [ Télécopieur (32-2) 296 21 51 ].

    Ces observations seront communiquées à l'Italie. Le traitement confidentiel de l'identité de la partie intéressée qui présente les observations peut être demandé par écrit, en spécifiant les motifs de la demande.

    RÉSUMÉ

    Dans le cadre du dossier d'aide d'État N 354/2000, des aides au sauvetage ont été accordées à cinq entreprises: Agricoop Scrl, Cooperativa agricola Moderna Scrl, Cooperativa Zootecnica di San Severino Scrl, CE.MA.CO SpA et Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl.

    L'autorisation de la Commission reposait, notamment, sur l'engagement des autorités italiennes de notifier un plan de restructuration pour chacune des entreprises visées dans un délai de six mois à compter de la date d'autorisation de l'aide au sauvetage.

    Les plans de restructuration des entreprises Agricoop Scrl, Cooperativa agricola Moderna Scrl et Cooperativa Zootecnica di San Severino Scrl ont été notifiés dans le délai précité et sont actuellement examinés par les services de la Commission.

    Le plan de restructuration de l'entreprise CE.MA.CO SpA, notifié plus tard, est, lui aussi, examiné actuellement par les services de la Commission.

    Par lettre datée du 1er octobre 2001, enregistrée le 2 octobre 2001, la Représentation permanente de l'Italie auprès de l'Union européenne a transmis une note de la région des Marches demandant une prolongation de six mois de la durée du prêt consenti à la Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl. à titre d'aide au sauvetage. Compte tenu de la date de cette note, l'entreprise a pu disposer de l'aide au sauvetage beaucoup plus longtemps que prévu et a, ainsi, bénéficié d'un élément d'aide supplémentaire qui n'a pas été notifié en temps voulu. Le dossier a donc été transféré au registre des aides non notifiées sous le numéro NN 163/2001.

    L'aide au sauvetage accordée à la Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl, active dans le secteur laitier (branche bovine), s'élève à 250 millions de lires italiennes (environ 125000 euros).

    Appréciation

    En vertu du point 23 d) des lignes directrices communautaires concernant les aides d'État au sauvetage et à la restructuration d'entreprises en difficulté(1), les autorités italiennes disposaient de six mois, après l'approbation de l'aide au sauvetage, pour présenter, pour la Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl, un plan de restructuration, un plan de liquidation ou la preuve du remboursement de l'aide au sauvetage. Le point 24 des lignes directrices précitées prévoit, certes, que le délai de six mois peut être prolongé dans des cas exceptionnels, sur la base d'une demande dûment justifiée de l'État membre. Cependant, la demande de prolongation de l'aide au sauvetage accordée à la Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl a été introduite près de huit mois après l'expiration du délai de six mois imparti pour l'établissement d'un plan de restructuration et repose sur des arguments qui ne justifient guère l'octroi d'une prolongation de délai. Or, si l'État membre n'a pas respecté dans le délai de six mois l'engagement de présenter un plan de restructuration, un plan de liquidation ou la preuve que l'aide au sauvetage a été remboursée et si une demande de prolongation dûment justifiée n'a pas été introduite, la Commission doit ouvrir la procédure prévue à l'article 88, paragraphe 2, du taité CE.

    À cela s'ajoute que, en raison de l'introduction tardive de la demande de prolongation, l'entreprise a pu disposer plus longtemps de son aide au sauvetage et a ainsi bénéficié d'un élément d'aide supplémentaire qui doit être pris en considération.

    Conformément à l'article 14 du règlement (CE) n° 659/1999 du Conseil, toute aide illégale pourra faire l'objet d'une récupération auprès de son bénéficiaire.

    TEXTE DE LA LETTRE

    "Con la presente lettera, la Commissione informa l'Italia che, dopo aver esaminato le informazioni fornite dalle competenti autorità italiane, essa ha deciso di avviare la procedura di cui all'articolo 88, paragrafo 2, del trattato CE riguardo uno degli aiuti per il salvataggio esaminati nel quadro del fascicolo in oggetto.

    1. Procedimento

    Con lettera del 13 giugno 2000, protocollata il 20 giugno 2000, la Rappresentanza permanente d'Italia presso l'Unione europea ha notificato alla Commissione le misure adottate dalla Regione Marche per la concessione di aiuti per il salvataggio a cinque aziende agricole in difficoltà, conformemente alle disposizioni dell'articolo 88, paragrafo 3, del trattato. Le aziende sono le seguenti: Agricoop Scrl, Cooperativa agricola Moderna Scrl, Cooperativa Zootecnica di San Severino Scrl, CE.MA.CO SpA e Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl.

    Con lettera del 17 agosto 2000(2), la Commissione ha comunicato alle autorità italiane la sua decisione di non sollevare obiezioni riguardo agli aiuti per il salvataggio concessi alle cinque aziende succitate. Per giungere a tale decisione la Commissione aveva tenuto conto, in particolare, dell'impegno delle autorità italiane di notificare un piano di ristrutturazione per ciascuna delle aziende in questione entro un termine di sei mesi dalla data di autorizzazione dell'aiuto per il salvataggio.

    Con lettera del 12 gennaio 2001, protocollata il 16 gennaio 2001, la succitata Rappresentanza permanente ha notificato alla Commissione, a norma dell'articolo 88, paragrafo 3, del trattato, il piano di ristrutturazione dell'azienda Agricoop Scrl. Detto piano è attualmente all'esame dei servizi della Commissione nel quadro del fascicolo d'aiuto di Stato N 45/2001.

    Con lettera del 12 gennaio 2001, protocollata il 17 gennaio 2001, la suddetta Rappresentanza permanente ha notificato alla Commissione, ai sensi dell'articolo 88, paragrafo 3, del trattato, il piano di ristrutturazione della Cooperativa Zootecnica di San Severino Scrl. Il piano è attualmente all'esame dei servizi della Commissione nel quadro del fascicolo d'aiuto di Stato N 46/2001.

    Con lettera dell'8 febbraio 2001, protocollata il 9 febbraio 2001, la succitata Rappresentanza permanente ha notificato alla Commissione, a norma dell'articolo 88, paragrafo 3 del trattato, il piano di ristrutturazione della Cooperativa agricola Moderna Scrl. Il piano è attualmente all'esame dei servizi della Commissione nel quadro del fascicolo d'aiuto di Stato N 130/2001.

    Con lettera del 1o ottobre 2001, protocollata il 2 ottobre 2001, la suddetta Rappresentanza permanente ha trasmesso alla Commissione una nota della Regione Marche in cui si richiede una proroga di sei mesi della durata del prestito concesso alla Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl, come aiuto per la ristrutturazione.

    Con lettera del 9 novembre 2001, protocollata il 12 novembre 2001, la suddetta Rappresentanza permanente ha notificato alla Commissione, a norma dell'articolo 88, paragrafo 3, del trattato, il piano di ristrutturazione dell'impresa CE.MA.CO SpA. Il piano è attualmente all'esame dei servizi della Commissione nel quadro del fascicolo d'aiuto di Stato N 741/2001.

    La decisione esplicitata nella presente lettera riguarda unicamente gli aiuti concessi sino ad ora alla Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl. Essa non ipoteca in alcun modo le decisioni che la Commissione prenderà circa i piani di ristrutturazione delle aziende Agricoop Scrl, Cooperativa Zootecnica di San Severino Scrl, Cooperativa agricola Moderna Scrl e CE.MA.CO SpA, attualmente all'esame dei servizi della Commissione.

    Per quanto concerne la Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl, la data alla quale è stata introdotta la domanda di proroga della durata dell'aiuto al salvataggio (circa otto mesi dopo la data normale di presentazione) dimostra che l'azienda ha potuto disporre dell'aiuto al salvataggio per un periodo di tempo molto più lungo del previsto ed ha potuto così beneficiare di un elemento d'aiuto supplementare che non è stato notificato a tempo debito. Di conseguenza, la Commissione ha deciso di trasferire il fascicolo nel registro degli aiuti non notificati, sotto il NN 163/2001.

    La Commissione si rammarica che le autorità italiane non abbiano introdotto entro i termini normali la loro domanda di proroga dell'aiuto per il salvataggio riguardo la Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl.

    2. Descrizione

    L'aiuto per il salvataggio concesso alla Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl, operante nel settore lattiero-caseario (ramo bovino), ammonta a 250 milioni di ITL (circa 125000 EUR). L'aiuto è stato approvato dalla Commissione sulla base, segnatamente, delle seguenti considerazioni:

    - le informazioni disponibili hanno indotto la Commissione a concludere che l'azienda era in difficoltà,

    - l'aiuto doveva essere concesso sotto forma di prestito rateale, con polizza fideiussoria a garanzia del prestito stesso a favore della Regione; il tasso d'interesse applicabile al prestito non doveva in alcun caso essere inferiore al tasso comunitario di riferimento applicabile all'Italia (5,70 % al momento della decisione),

    - l'aiuto doveva essere rimborsato nel quadro di un programma di ristrutturazione approvato dalla Commissione, secondo la procedura degli articoli 87 e 88 del trattato; qualora il programma di ristrutturazione non fosse attuato o se risultasse che l'azienda non fosse in grado di giungere ad una situazione di redditività economica, il beneficiario doveva restituire il prestito con relativi interessi entro dodici mesi dalla concessione dell'aiuto; qualora il beneficiario non restituisse il prestito con relativi interessi entro il termine previsto, le autorità italiane si impegnavano a far intervenire la garanzia,

    - la concessione dell'aiuto era giustificata da gravi motivazioni di ordine sociale,

    - l'azienda beneficiaria doveva presentare un piano di ristrutturazione nel termine di quattro mesi dall'autorizzazione dell'aiuto; le autorità italiane si sono impegnate a notificare alla Commissione questo piano di ristrutturazione nel termine massimo di sei mesi; qualora l'azienda non avesse presentato un piano di ristrutturazione il prestito doveva essere restituito entro sei mesi,

    - l'entità dell'aiuto non poteva essere superiore agli importi necessari per la copertura degli stipendi e dei relativi oneri sociali, del pagamento dei debiti ai fornitori, dell'acquisizione di mezzi di produzione necessari al mantenimento del ciclo produttivo e del pagamento dei debiti bancari a breve termine; l'aiuto era quindi connesso unicamente agli oneri di esercizio dell'azienda,

    - l'aiuto sarebbe stato erogato 'una tantum' e il beneficiario non doveva avere mai fruito in passato di aiuti per il salvataggio e la ristrutturazione.

    3. Valutazione

    Ai sensi dell'articolo 87, paragrafo 1, del trattato, sono incompatibili con il mercato comune, nella misura in cui incidano sugli scambi tra Stati membri, gli aiuti concessi dagli Stati, ovvero mediante risorse statali, sotto qualsiasi forma che, favorendo talune imprese o talune produzioni, falsino o minaccino di falsare la concorrenza. L'aiuto in questione può produrre gli effetti suindicati: esso favorisce infatti una determinata produzione (latte) e può incidere sugli scambi, in considerazione della posizione che l'Italia occupa nella produzione del prodotto in causa (nel 1998 l'Italia ha contribuito per il 9 % all'intera produzione di latte vaccino dell'Unione).

    Nel quadro del fascicolo di aiuti N 354/2000, l'aiuto per il salvataggio concesso alla Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl è stato esaminato come aiuto di Stato sulla base della normativa in materia e cioè gli orientamenti comunitari sugli aiuti di Stato per il salvataggio e la ristrutturazione di imprese in difficoltà(3).

    Tali orientamenti (nel prosieguo, 'gli orientamenti') precisano, al punto 19, che 'eccezion fatta per i casi di danni causati da calamità naturali o da eventi eccezionali, [articolo 87, paragrafo 2, lettera b)], che non sono oggetto del presente documento - possono essere considerati compatibili unicamente in virtù dell'articolo 87, paragrafo 3, lettera c), in base al quale possono essere autorizzati dalla Commissione 'gli aiuti destinati ad agevolare lo sviluppo di talune attività [...], sempre che non alterino le condizioni degli scambi in misura contraria al comune interesse'.'

    Nel decidere di non sollevare obiezioni riguardo all'aiuto per il salvataggio descritto più sopra, la Commissione si era basata sugli impegni assunti dalle autorità italiane e la sua decisione supponeva l'osservanza di ognuno di tali impegni.

    Le autorità italiane si erano impegnate, in particolare, a notificare alla Commissione il piano di ristrutturazione dell'azienda in questione entro il termine massimo di sei mesi dalla data della concessione dell'autorizzazione dell'aiuto per il salvataggio, precisando che qualora l'azienda non avesse presentato un piano di ristrutturazione il prestito doveva essere restituito entro sei mesi.

    Tenuto conto di tale impegno, che era conforme alle disposizioni del punto 23, lettera d), degli orientamenti, tutto il piano di ristrutturazione avrebbe dovuto essere notificato entro il 17 febbraio 2001.

    Nella loro lettera del 1o ottobre 2001, le autorità italiane hanno chiesto che l'aiuto per il salvataggio concesso alla Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl fosse prorogato di sei mesi poiché tale azienda aveva potuto produrre la garanzia richiesta sul prestito solo al momento della concessione del prestito stesso e poiché la predisposizione del piano di ristrutturazione era stata così ritardata. Un altro argomento invocato dalle autorità italiane è che detta Cooperativa non è attualmente in grado di presentare un progetto di ristrutturazione dell'allevamento poiché la mancanza di test BSE su animali vivi non le consente di procedere all'acquisto di nuovi capi in buone condizioni di sicurezza. La proroga di sei mesi deve servire a 'valutare le effettive condizioni per procedere alla predisposizione di un piano di ristrutturazione o, in ultima istanza, procedere alla chiusura definitiva dell'azienda stessa'.

    Sebbene al punto 24 degli orientamenti sia indicato che 'a seguito dell'autorizzazione iniziale, e in casi eccezionali debitamente giustificati, la Commissione potrà autorizzare una proroga del termine iniziale di sei mesi su richiesta dello Stato membro', la Commissione non può che constatare che la richiesta dello Stato membro è presentata quasi otto mesi dopo il termine del periodo di autorizzazione iniziale dell'aiuto per il salvataggio, ovverosia con molto ritardo. Inoltre, il motivo della mancanza di test BSE avanzato dalle autorità italiane non sembra molto valido, in quanto ciò implicherebbe che allo stato attuale delle cose, in mancanza di test su animali vivi, nessun allevatore comunitario sarebbe in grado di introdurre animali nel proprio allevamento. Nella fattispecie, esso significa piuttosto che le autorità italiane temono di non poter introdurre animali nella Cooperativa ancora per un certo tempo. Non è quindi certo che la Cooperativa Agricola Zootecnica Marulla Scrl sia in grado di presentare un piano di ristrutturazione nel termine di sei mesi, il che induce la Commissione a dubitare sull'utilità di prevedere una proroga supplementare. Infine, la 'valutazione delle effettive condizioni' per procedere successivamente alla predisposizione di un piano di ristrutturazione avrebbe già potuto essere stata effettuata da un certo tempo, tanto più che essa è manifestamente connessa al problema dalla reintroduzione di animali nella Cooperativa e che gli elementi su cui tale valutazione dovrebbe essere effettuata (segnatamente, le conseguenze della mancanza di test) non dovrebbero, durante i sei mesi di proroga richiesta, essere molto differenti da quelli che sussistono già tuttora.

    Pertanto la Commissione dubita della fondatezza della richiesta presentata dalle autorità italiane. Ora, a norma del punto 26 degli orientamenti, qualora lo Stato non abbia rispettato, nel termine di sei mesi, l'impegno di presentare un piano di ristrutturazione, un piano di liquidazione o la prova che l'aiuto per il salvataggio è stato rimborsato e in mancanza di una richiesta di proroga debitamente giustificata, la Commissione deve avviare la procedura di cui all'articolo 88, paragrafo 2, del trattato, in quanto l'inosservanza di una delle condizioni di autorizzazione dell'aiuto per il salvataggio solleva dubbi circa la compatibilità dell'operazione con il mercato comune.

    A tutto ciò si aggiunge il fatto che l'azienda, data la presentazione tardiva della domanda di proroga, ha potuto beneficiare di un elemento d'aiuto supplementare, di cui deve essere tenuto conto.

    In considerazione di quanto precede, la Commissione invita il governo italiano, nel quadro della procedura dell'articolo 88, paragrafo 2, del trattato CE, a presentare le sue osservazioni ed a fornire tutte le informazioni utili per valutare l'aiuto in causa entro un mese dalla data di ricezione della presente lettera. Essa invita inoltre le autorità italiane a trasmettere immediatamente copia della presente lettera al beneficiario potenziale dell'aiuto.

    La Commissione rammenta allo Stato italiano l'effetto sospensivo dell'articolo 88, paragrafo 3, del trattato CE e fa riferimento all'articolo 14 del regolamento (CE) n. 659/1999 del Consiglio che prevede che qualsiasi aiuto illegale potrà formare oggetto di un recupero presso il beneficiario."

    (1) JO C 288 du 9.10.1999, p. 2.

    (2) Lettera SG(2000) D/106283.

    (3) GU C 288 del 9.10.1999, pag. 2.

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