ISSN 1725-2431 |
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Journal officiel de l'Union européenne |
C 53 |
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Édition de langue française |
Communications et informations |
52e année |
Numéro d'information |
Sommaire |
page |
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II Communications |
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COMMUNICATIONS PROVENANT DES INSTITUTIONS ET ORGANES DE L'UNION EUROPÉENNE |
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Commission |
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2009/C 053/01 |
Autorisation des aides d'État dans le cadre des dispositions des articles 87 et 88 du traité CE — Cas à l'égard desquels la Commission ne soulève pas d'objection ( 1 ) |
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2009/C 053/02 |
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IV Informations |
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INFORMATIONS PROVENANT DES INSTITUTIONS ET ORGANES DE L’UNION EUROPÉENNE |
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Commission |
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2009/C 053/03 |
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INFORMATIONS PROVENANT DES ÉTATS MEMBRES |
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2009/C 053/04 |
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2009/C 053/05 |
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V Avis |
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PROCÉDURES ADMINISTRATIVES |
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Conseil |
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2009/C 053/06 |
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PROCÉDURES RELATIVES À LA MISE EN ŒUVRE DE LA POLITIQUE DE CONCURRENCE |
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Commission |
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2009/C 053/07 |
Aides d'État — Pologne — Aide d'État C 49/08 (ex N 402/08) — Aide à la restructuration en faveur de PZL Debica — Invitation à présenter des observations en application de l'article 88, paragraphe 2, du traité CE ( 1 ) |
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2009/C 053/08 |
Notification préalable d'une concentration (Affaire COMP/M.5486 — Vodafone/Hutchison Whampoa/JV) — Cas susceptible d'être traité selon la procédure simplifiée ( 1 ) |
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2009/C 053/09 |
Notification préalable d'une concentration (Affaire COMP/M.5152 — Posten AB/Post Danmark A/S) ( 1 ) |
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AUTRES ACTES |
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Commission |
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2009/C 053/10 |
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(1) Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE |
FR |
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II Communications
COMMUNICATIONS PROVENANT DES INSTITUTIONS ET ORGANES DE L'UNION EUROPÉENNE
Commission
6.3.2009 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 53/1 |
Autorisation des aides d'État dans le cadre des dispositions des articles 87 et 88 du traité CE
Cas à l'égard desquels la Commission ne soulève pas d'objection
(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE)
(2009/C 53/01)
Date d'adoption de la décision |
13.1.2009 |
Aide no |
N 325/07 |
État membre |
Slovénie |
Région |
— |
Titre (et/ou nom du bénéficiaire) |
Uvedba sistema davka na tonažo v korist pomorskemu prometu |
Base juridique |
Zakon od davku na tonažo z dne 22. junija 2007 |
Type de la mesure |
Mesure fiscale |
Objectif |
Favoriser le transport maritime et encourager les transferts de pavillon vers des registres européens |
Forme de l'aide |
Remplacement de l'impôt sur les sociétés par un impôt forfaitaire |
Budget |
— |
Intensité |
— |
Durée |
10 ans |
Secteurs économiques |
Transport maritime |
Nom et adresse de l'autorité chargée de l'octroi |
— |
Autres informations |
— |
Le texte de la décision dans la (les) langue(s) faisant foi, expurgé des données confidentielles, est disponible sur le site:
http://ec.europa.eu/community_law/state_aids/
Date d'adoption de la décision |
12.11.2008 |
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No de l'aide |
N 388/08 |
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État membre |
Italie |
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Région |
Veneto |
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Titre (et/ou nom du bénéficiaire) |
Alpi Eagles SpA — Aiuti per il salvataggio |
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Base juridique |
Nuova disciplina dell'amministrazione straordinaria delle grandi imprese in stato di insolvenza, a norma dell'articolo 1 della legge del 30 luglio 1998, n. 274 |
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Type de mesure |
Aide individuelle |
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Objectif |
Sans objet |
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Forme de l'aide |
Garantie d'emprunt |
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Budget |
17 millions EUR |
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Intensité de l'aide |
100 % |
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Durée de l'aide |
6 mois |
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Secteurs économiques |
Transport aérien |
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Nom et adresse de l'autorité chargée de l'octroi |
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Autres informations |
— |
Le texte de la décision dans la (les) langue(s) faisant foi, expurgé des données confidentielles, est disponible sur le site:
http://ec.europa.eu/community_law/state_aids/
Date d'adoption de la décision |
13.1.2009 |
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Numéro de l'aide |
N 415/08 |
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État membre |
Autriche |
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Région |
— |
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Titre (et/ou nom du bénéficiaire) |
Innovationsförderprogramm Kombinierter Güterverkehr |
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Base juridique |
Allgemeine Richtlinien für die Gewährung von Förderungen aus Bundesmitteln, 51. Verordnung des Bundesministers für Finanzen, Jahrgang 2004 and Innovationsförderprogramm Kombinierter Güterverkehr |
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Type de mesure |
Régime d'aide |
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Objectif |
Encourager le développement du transport combiné pour obtenir un transfert du fret routier vers d'autres modes de transport |
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Forme de l'aide |
Aides non remboursables |
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Budget |
Max. 24 millions EUR (4 millions EUR par an) |
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Intensité de l'aide |
Intensité maximale de l'aide fixée à 30 % des coûts éligibles pour les technologies et les équipements innovants respectivement, et à 50 % des coûts éligibles pour les études de faisabilité |
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Durée de l'aide (période) |
1.1.2009-31.12.2014 |
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Secteur économique |
Transport |
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Nom et adresse de l'autorité chargée de l'octroi |
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Le texte de la décision dans la (les) langue(s) faisant foi, expurgé des données confidentielles, est disponible sur le site:
http://ec.europa.eu/community_law/state_aids/
Date d'adoption de la décision |
28.1.2009 |
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Numéro de l'aide |
469/08 |
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État membre |
République tchèque |
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Région |
— |
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Titre (et/ou nom du bénéficiaire) |
Interoperabilita v železniční dopravě |
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Base juridique |
Zákon č. 266/1994 Sb., o dráhách, ve znění pozdějších předpisů; zákon č. 218/2000 Sb., o rozpočtových pravidlech a o změně některých souvisejících zákonů (rozpočtová pravidla), ve znění pozdějších předpisů; zákon č. 215/2004 Sb., o úpravě některých vztahů v oblasti veřejné podpory a o změně zákona o podpoře výzkumu a vývoje; nařízení vlády č. 133/2005 Sb., o technických požadavcích na provozní a technickou propojenost evropského železničního systému, ve znění pozdějších předpisů; vyhláška č. 352/2004 Sb., o provozní a technické propojenosti evropského železničního systému, ve znění pozdějších předpisů; vyhláška č. 560/2006 Sb., o účasti státního rozpočtu na financování programů reprodukce majetku; sdělení Ministerstva dopravy č. 111/2004 Sb., o výčtu železničních drah zařazených do evropského železničního systému |
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Type de mesure |
— |
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Objectif |
Faire en sorte d'interconnecter progressivement, sur les plans technique et opérationnel, le système ferroviaire tchèque avec les systèmes ferroviaires des pays voisins (interopérabilité), ainsi que les différentes entités intervenant dans le transport ferroviaire |
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Forme de l'aide |
Subvention directe |
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Budget |
1 milliard CZK (40 millions EUR) |
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Intensité de l'aide |
50 % |
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Durée de l'aide |
2009-2013 |
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Secteurs économiques |
Transport ferroviaire |
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Nom et adresse de l'autorité chargée de l'octroi |
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Autres informations |
— |
Le texte de la décision dans la (les) langue(s) faisant foi, expurgé des données confidentielles, est disponible sur le site:
http://ec.europa.eu/community_law/state_aids/
6.3.2009 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 53/4 |
Note explicative concernant la définition de «transporteur associé» dans le règlement (CE) no 80/2009 du Parlement européen et du Conseil instaurant un code de conduite pour l'utilisation de systèmes informatisés de réservation et abrogeant le règlement (CEE) no 2299/89 du Conseil
(2009/C 53/02)
Introduction
1. |
Le règlement (CE) no 80/2009 du 14 janvier 2009 remplace le règlement (CEE) no 2299/89 instaurant un code de conduite pour l'utilisation de systèmes informatisés de réservation (ci-après dénommés «SIR»). L'un des éléments qui a changé par rapport au règlement (CEE) no 2299/89 est la définition du «transporteur associé» à un SIR. La présente note vise à préciser aux acteurs économiques ce que signifie la nouvelle définition et à indiquer comment les services de la Commission détermineront le statut d'un transporteur aérien ou d'un opérateur ferroviaire en fonction de cette définition. |
2. |
La présente note explicative s'entend sans préjudice de l'application des articles 81 et 82 du traité. |
3. |
La présente note explicative s'entend sans préjudice de la définition de transporteur associé qui peut être donnée par la Cour de justice. |
1. DÉFINITION DE «TRANSPORTEUR ASSOCIÉ»
4. |
L'article 2 du règlement (CE) no 80/2009 définit le transporteur associé comme suit. Les définitions de la participation au capital et du contrôle apportent d'autres précisions.
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5. |
Ces définitions concernent les divers moyens conférant la possibilité d'exercer une influence déterminante sur la conduite des affaires du vendeur de système, l'accent étant mis en particulier sur la participation au capital. La définition du «contrôle» couvre certes les situations où des droits de propriété confèrent la possibilité d'exercer une influence déterminante sur le vendeur de système mais, dans le code de conduite, la définition de «transporteur associé» ajoute une référence explicite à la participation au capital d'un vendeur de système, aux droits associés ou à la représentation dans un organe de direction et à l'influence déterminante que cette participation peut conférer au transporteur aérien ou à l'opérateur ferroviaire sur la conduite des affaires du vendeur de système. |
2. DÉTERMINATION DU STATUT DE TRANSPORTEUR ASSOCIÉ
6. |
Les notions de «contrôle» et d'«influence déterminante» sont au cœur de la définition de transporteur associé. La définition de «contrôle» fournie par l'article 2 du règlement (CE) no 80/2009 est identique à celle figurant à l'article 3, paragraphe 2, du règlement (CE) no 139/2004 du 20 janvier 2004 relatif au contrôle des concentrations entre entreprises («règlement CE sur les concentrations») (1). Il s'ensuit que les notions de «contrôle» et d'«influence déterminante» doivent être interprétées de la même façon que dans la communication juridictionnelle codifiée de la Commission publiée au Journal officiel de l'Union européenne C 95 du 16 avril 2008, en particulier les chapitres II.2 et II.3. Les principaux éléments présentant un intérêt aux fins du règlement (CE) no 80/2009 seront indiqués ci-après. |
2.1. Moyens d'acquérir une influence déterminante
7. |
Le contrôle est défini comme la possibilité d'exercer une influence déterminante sur une entreprise. Il n'est pas nécessaire que l'influence déterminante soit effectivement exercée. La possibilité d'exercer une influence déterminante peut être obtenue par divers moyens tels que:
|
2.2. Cas d'un transporteur associé unique
8. |
Un transporteur aérien ou un opérateur ferroviaire unique peut exercer une influence déterminante sur un vendeur de système. Il importe de distinguer deux situations dans lesquelles une entreprise jouit d'un tel contrôle exclusif. Premièrement, l'entreprise exerçant le contrôle exclusif détient le pouvoir d'arrêter les décisions commerciales stratégiques de l'entreprise. Ce pouvoir est généralement obtenu par l'acquisition d'une majorité des droits de vote. Dans ce contexte, on entend par influence déterminante le pouvoir de prendre des décisions concernant la stratégie commerciale de l'entreprise. Deuxièmement, il y a également contrôle exclusif lorsqu'un seul actionnaire est en mesure de s'opposer aux décisions stratégiques d'une entreprise, mais qu'il ne peut, à lui seul, imposer de telles décisions (c'est ce que l'on appelle le contrôle exclusif négatif). Dans ce cas, on entend par influence déterminante le pouvoir de bloquer l'adoption de décisions stratégiques. |
9. |
Le contrôle exclusif peut être acquis sur la base de circonstances de droit et/ou de fait. |
10. |
Un contrôle exclusif est normalement acquis de droit lorsqu'une entreprise obtient une majorité des droits de vote d'une société. Un contrôle exclusif peut découler, de droit, d'une participation minoritaire lorsque des droits spécifiques sont liés à cette dernière (par exemple le pouvoir de nommer plus de la moitié des membres du conseil de surveillance ou du conseil d'administration). |
11. |
On peut également considérer qu'un actionnaire minoritaire exerce un contrôle exclusif de fait lorsque, par exemple, de par sa participation, la structure historique des votes à l'assemblée générale et la position des autres actionnaires, il est probable que cet actionnaire minoritaire obtienne une majorité stable dans cette assemblée. Cela dépend de facteurs comme la dispersion des actions restantes, les liens structurels et économiques entre actionnaires et les intérêts stratégiques des autres actionnaires dans la société. Il convient d'évaluer ces critères au cas par cas en prenant en considération les changements prévisibles des actionnaires présents qu'une modification de la structure de contrôle et de propriété du vendeur de système pourrait entraîner à l'avenir. |
2.3. Cas de transporteurs associés multiples
12. |
Plusieurs transporteurs aériens et/ou opérateurs ferroviaires peuvent exercer conjointement une influence déterminante sur un vendeur de système. |
13. |
La forme la plus évidente d'un tel contrôle en commun est celle où il n'y a que deux entreprises fondatrices qui se partagent à parité les droits de vote dans le vendeur de système. Toutefois, il peut y avoir un contrôle en commun même s'il n'y a pas de parité entre les deux entreprises fondatrices concernant les votes ou la représentation dans les organes de décision ou s'il y a plus de deux entreprises fondatrices. Il en est ainsi lorsque des actionnaires minoritaires jouissent de droits supplémentaires leur permettant de bloquer des décisions qui sont capitales pour la stratégie de l'entreprise commune. Ces droits de veto peuvent être inscrits dans les statuts de l'entreprise commune ou être établis par accord passé entre les entreprises fondatrices (par exemple un pacte d'actionnaires). |
14. |
Ces droits de veto doivent porter sur des décisions stratégiques concernant la politique commerciale de la société. Ils doivent aller au-delà des droits de veto normalement consentis aux actionnaires minoritaires pour protéger leurs intérêts financiers dans l'entreprise commune. La protection normale des droits des actionnaires minoritaires a trait à des décisions sur la vie même de l'entreprise commune: modification des statuts, augmentation de capital, réduction de capital, liquidation, etc. |
15. |
En revanche, les droits de veto qui confèrent un contrôle portent généralement sur des décisions relatives à des questions comme le budget, le plan d'entreprise (dans la mesure où il donne des détails qui vont au-delà des déclarations générales sur les buts de l'entreprise), les grands investissements (dans la mesure où le niveau d'investissement n'est pas assez élevé pour que l'exercice du droit de veto se justifie par la protection normale des intérêts de l'actionnaire minoritaire) ou la nomination de l'encadrement supérieur. |
16. |
Même en l'absence de droits de veto spécifiques, deux ou plusieurs entreprises qui détiennent une participation minoritaire dans un vendeur de système peuvent en prendre le contrôle en commun. Cela peut être le cas si les actionnaires minoritaires possèdent ensemble une majorité des droits de vote et s'ils se concertent pour les exercer. Cette concertation peut découler d'un accord juridiquement contraignant à cet effet ou, exceptionnellement, être établie sur la base de circonstances de fait lorsqu'il y a une forte communauté d'intérêts entre les actionnaires minoritaires concernés. |
17. |
En ce qui concerne les participations minoritaires, il faut souligner que le code de conduite vise à établir une nette distinction entre la participation purement financière au capital d'un vendeur de système et le rôle plus actif du transporteur aérien dans les affaires du vendeur de système. En jouant un rôle important dans le processus décisionnel du vendeur de système, un transporteur aérien ou un opérateur ferroviaire peut être tenté d'orienter les décisions commerciales du vendeur de système dans un sens qui fausserait la concurrence dans le secteur du transport aérien ou ferroviaire. Relativement à la distribution de ses produits, le transporteur associé peut également être tenté de favoriser son propre SIR au détriment des autres. |
18. |
Cette distinction est importante lorsque des transporteurs aériens ou opérateurs ferroviaires sont actionnaires minoritaires d'un vendeur de système. Si une telle participation confère au transporteur aérien ou à l'opérateur ferroviaire en question des droits qui vont au-delà des droits normalement consentis aux actionnaires minoritaires pour protéger leurs intérêts financiers, ou si le transporteur aérien ou l'opérateur ferroviaire est en mesure, seul ou conjointement avec d'autres actionnaires, d'orienter les décisions commerciales du vendeur de système par rapport aux autres transporteurs participants, le transporteur aérien ou l'opérateur ferroviaire doit alors être considéré comme un transporteur associé. |
3. QUESTIONS DE PROCÉDURE
19. |
La Commission, saisie d'une plainte ou agissant d'office, peut enquêter sur les infractions présumées au code de conduite. Il est procédé aux investigations conformément au principe de bonne administration. Concernant les infractions présumées aux obligations du transporteur associé à un vendeur de système, l'investigation de la Commission consistera d'abord à déterminer si le transporteur aérien ou l'opérateur ferroviaire concerné doit être considéré comme un transporteur associé au vendeur de système. |
20. |
L'article 14 du code de conduite confère à la Commission tous les pouvoirs d'investigation requis pour demander les informations nécessaires à cette détermination. De fait, la Commission peut demander aux entreprises ou associations d'entreprises de fournir tous les renseignements nécessaires, y compris des audits spécifiques notamment sur des questions relevant de l'article 10 qui contient les obligations des transporteurs associés. |
21. |
En outre, l'article 12 exige de chaque vendeur de système qu'il présente, tous les quatre ans, un rapport ayant fait l'objet d'un audit indépendant et exposant de façon détaillée la structure de son actionnariat et son modèle de gouvernance. La Commission peut également demander ce rapport à tout moment. Les articles 12 et 14 permettent donc à la Commission de recueillir toutes les informations pertinentes pour déterminer le statut du transporteur aérien ou de l'opérateur ferroviaire relativement à la définition de transporteur associé. |
22. |
Cette détermination sera généralement fondée sur une analyse des documents détaillant la structure de propriété et de contrôle du vendeur de système, tels que les statuts de la société ou les accords entre actionnaires. La Commission peut également analyser d'autres documents pertinents comme les procès-verbaux de réunion du conseil d'administration ou d'autres organes de direction. |
23. |
Si le transporteur aérien ou l'opérateur ferroviaire est effectivement identifié comme un transporteur associé, la Commission enquêtera sur les infractions présumées au code de conduite commises par ce transporteur associé. L'article 16 du code de conduite, qui étend la capacité de la Commission à recueillir les données nécessaires, définit les procédures et garantit la préservation du secret d'affaires. |
24. |
Lorsqu'une infraction est effectivement constatée, la Commission peut arrêter la décision qui s'impose pour mettre fin à l'infraction. Elle peut également infliger une amende à l'entreprise responsable de l'infraction au code de conduite. |
(1) JO L 24 du 29.1.2004, p. 1.
IV Informations
INFORMATIONS PROVENANT DES INSTITUTIONS ET ORGANES DE L’UNION EUROPÉENNE
Commission
6.3.2009 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 53/7 |
Taux de change de l'euro (1)
5 mars 2009
(2009/C 53/03)
1 euro=
|
Monnaie |
Taux de change |
USD |
dollar des États-Unis |
1,2555 |
JPY |
yen japonais |
124,71 |
DKK |
couronne danoise |
7,4506 |
GBP |
livre sterling |
0,89030 |
SEK |
couronne suédoise |
11,4825 |
CHF |
franc suisse |
1,4765 |
ISK |
couronne islandaise |
|
NOK |
couronne norvégienne |
8,9060 |
BGN |
lev bulgare |
1,9558 |
CZK |
couronne tchèque |
27,744 |
EEK |
couronne estonienne |
15,6466 |
HUF |
forint hongrois |
311,63 |
LTL |
litas lituanien |
3,4528 |
LVL |
lats letton |
0,7071 |
PLN |
zloty polonais |
4,7225 |
RON |
leu roumain |
4,2793 |
TRY |
lire turque |
2,2080 |
AUD |
dollar australien |
1,9573 |
CAD |
dollar canadien |
1,6139 |
HKD |
dollar de Hong Kong |
9,7405 |
NZD |
dollar néo-zélandais |
2,5065 |
SGD |
dollar de Singapour |
1,9531 |
KRW |
won sud-coréen |
1 963,60 |
ZAR |
rand sud-africain |
13,2079 |
CNY |
yuan ren-min-bi chinois |
8,5885 |
HRK |
kuna croate |
7,4211 |
IDR |
rupiah indonésien |
15 222,94 |
MYR |
ringgit malais |
4,6799 |
PHP |
peso philippin |
60,920 |
RUB |
rouble russe |
45,0615 |
THB |
baht thaïlandais |
45,468 |
BRL |
real brésilien |
2,9954 |
MXN |
peso mexicain |
19,1903 |
INR |
roupie indienne |
64,9970 |
Source: taux de change de référence publié par la Banque centrale européenne.
INFORMATIONS PROVENANT DES ÉTATS MEMBRES
6.3.2009 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 53/8 |
Renseignements communiqués par les États membres sur les aides d'État accordées conformément au règlement (CE) no 1857/2006 de la Commission concernant l'application des articles 87 et 88 du traité aux aides d'État accordées aux petites et moyennes entreprises actives dans la production de produits agricoles et modifiant le règlement (CE) no 70/2001
(2009/C 53/04)
Numéro de l'aide: XA 221/08
État membre: Pays-Bas
Région: Provincie Limburg
Intitulé du régime d'aide ou nom de l'entreprise bénéficiaire de l'aide individuelle: Wijnen Paprika's BV (Advieskosten Geothermisch onderzoek)
Base juridique: Artikel 4:21 lid 3 onder c Algemene wet bestuursrecht
Dépenses annuelles prévues dans le cadre du régime d'aide ou montant total de l'aide individuelle octroyée à l'entreprise bénéficiaire: 33 000 EUR
Intensité maximale des aides: 100 %
Date de la mise en œuvre: À compter de la publication du numéro d'enregistrement de la demande d'exemption sur le site web de la direction générale de l'agriculture et du développement rural de la Commission européenne
Durée du régime d'aide ou de l'aide individuelle:
er
Objectif de l'aide: L'aide est octroyée en application de l'article 15 du règlement (CE) no 1857/2006
Secteur(s) concerné(s): Agriculture primaire (poivrons)
Nom et adresse de l'autorité responsable:
Provincie Limburg |
Limburglaan 10 |
6229 GA Maastricht |
Nederland |
Adresse du site web: http://www.limburg.nl/nl/html/algemeen/beleid/Europa/KennisgevingenStaatssteun/KennisgevingenStaatssteun.asp#aU4J64XT47201JA40Q11W
Autres informations: L'aide est attribuée au profit d'une étude visant à déterminer s'il est possible de chauffer les serres de Wijnen Paprika's BV grâce à l'énergie géothermique. Les coûts pouvant bénéficier de cette aide sont ceux liés aux conseils techniques.
L'aide ne constitue pas un paiement direct à l'agriculteur bénéficiaire; elle prend la forme de services de conseil subventionnés. Il ne s'agit pas d'une aide en faveur de services qui ont un caractère continu ou périodique ou qui sont liées aux dépenses de fonctionnement normales de l'entreprise. L'aide est octroyée conformément aux dispositions du règlement portant fixation de subventions pour l'aménagement du territoire rural («Subsidieverordening Inrichting Landelijk Gebied») de la province du Limbourg et est à la disposition de toutes les entreprises qui remplissent les conditions qui y sont mentionnées
Numéro de l'aide: XA 374/08
État membre: France
Région: Bourgogne
Intitulé du régime d'aide: Aides au traitement des animaux malades de la FCO dans élevages bovins, ovins et caprins
Base juridique:
— |
Code général des collectivités territoriales, articles L 1511-2-3-5, |
— |
arrêtés du ministre de l'agriculture et de la pêche des 19, 24 septembre et 9 octobre 2008 modifiant l'arrêté du 1er avril 2008 définissant les zones réglementées relatives à la fièvre catarrhale ovine, |
— |
décision no 90/424 CE du Conseil du 26 juin 1990 relative à certaines dépenses dans le domaine vétérinaire, |
— |
délibération du Conseil régional de Bourgogne |
Dépenses annuelles prévues dans le cadre du régime d'aide: 90 000 EUR
Intensité maximale des aides: Le montant de l'aide de la Région Bourgogne est 45 EUR par bovin et 7,5 EUR par ovin/caprin atteints de la fièvre catarrhale ovine, ayant été traités.
L'intensité maximale des aides publiques est de 100 %. Les montants perçus au titre des régimes d'assurance seront pris en compte dans la vérification du respect du taux d'intensité de l'aide.
Cette aide sera versée aux groupements de défense sanitaire départementaux, sur présentation d'une liste récapitulative des exploitants agricoles respectant l'ensemble des conditions suivantes:
foyers déclarés en 2007 ou en 2008,
cotisant à la CSSA (Caisse nationale de solidarité sanitaire animale) ouverte à tous les éleveurs
Date de la mise en œuvre: À compter de la publication du numéro d'enregistrement de la demande d'exemption (Journal officiel de l'Union européenne) et du vote de la délibération du Conseil Régional de Bourgogne
Durée du régime d'aide: 2008-2009
Objectif de l'aide: Ces aides exceptionnelles doivent permettre de prendre en charge partiellement les coûts liés à un service ouvert à tous les éleveurs de mutuelle complémentaire de la caisse nationale de solidarité sanitaire animale (CSSA), créé par les groupements départementaux de défense sanitaire (GDS).
Elles permettront ainsi de couvrir partiellement les frais engagés par les éleveurs de bovins, d'ovins et de caprins pour soigner leurs animaux atteints de fièvre catarrhale ovine, conformément aux dispositions de l'article 10 du règlement (CE) no 1857/2006
Secteur(s) concerné(s): Secteurs bovin, ovin et caprin
Nom et adresse de l'autorité responsable:
Conseil régional de Bourgogne |
Direction de l'agriculture et du développement rural |
17, boulevard de la Trémouille |
BP 1602 |
F-21035 Dijon cedex |
Adresse du site web: http://www.cr-bourgogne.fr/doc/gda/2008-10/Rapport_modif_FCO_ind_ovins_SP_20_10_08.doc
Numéro de l'aide: XA 375/08
État membre: France
Région: Bourgogne
Intitulé du régime d'aide: Aides aux pertes entraînées de la FCO dans élevages ovins et caprins
Base juridique:
— |
Code général des collectivités territoriales, articles L 1511-2-3-5, |
— |
arrêtés du ministre de l'agriculture et de la pêche des 19, 24 septembre et 9 octobre 2008 modifiant l'arrêté du 1er avril 2008 définissant les zones réglementées relatives à la fièvre catarrhale ovine, |
— |
décision no 90/424 CE du Conseil du 26 juin 1990 relative à certaines dépenses dans le domaine vétérinaire, |
— |
délibération du Conseil régional de Bourgogne |
Dépenses annuelles prévues dans le cadre du régime d'aide: 450 000 EUR
Intensité maximale des aides: Le montant de l'aide de la Région Bourgogne est de 50 EUR pour les animaux relevant des catégories suivantes:
mâles ou femelles reproducteurs petits ruminants âgés de plus de 6 mois morts,
mâles ou boucs reproducteurs âgés de plus de 6 mois ayant perdu leur capacité de production.
L'intensité maximale des aides publiques est de 100 %. Les montants perçus au titre des régimes d'assurance seront pris en compte dans la vérification du respect du taux d'intensité de l'aide.
Cette aide sera versée aux exploitants agricoles respectant l'ensemble des conditions suivantes:
foyers déclarés en 2007 ou en 2008,
bénéficiant de la Prime Brebis Chèvre,
ayant obtenu l'indemnisation sanitaire de l'État français pour les animaux morts ou ayant des résultats d'analyse virologique positifs pour les mâles reproducteurs,
s'engageant à remplacer leur cheptel.
Les montants perçus au titre des régimes d'assurance seront pris en compte dans la vérification du respect du taux d'intensité de l'aide
Date de la mise en œuvre: À compter de la publication du numéro d'enregistrement de la demande d'exemption (Journal officiel de l'Union européenne) et du vote de la délibération du Conseil Régional de Bourgogne
Durée du régime d'aide: 2008-2009
Objectif de l'aide: Ces aides doivent permettre d'indemniser les éleveurs d'ovins et de caprins de la perte de futurs reproducteurs, en facilitant l'achat ou le renouvellement des effectifs aux fins de rétablir la population de reproducteurs qui existait avant l'apparition de la maladie, conformément aux dispositions de l'article 10 du règlement (CE) no 1857/2006
Secteur(s) concerné(s): Secteurs ovin et caprin
Nom et adresse de l'autorité responsable:
Conseil régional de Bourgogne |
Direction de l'agriculture et du développement rural |
17, boulevard de la Trémouille |
BP 1602 |
F-21035 Dijon cedex |
Adresse du site web: http://www.cr-bourgogne.fr/doc/gda/2008-10/Rapport_modif_FCO_ind_ovins_SP_20_10_08.doc
Numéro de l'aide: XA 377/08
État membre: Espagne
Région: Comunidad Valenciana
Intitulé du régime d'aide ou nom de l'entreprise bénéficiaire de l'aide individuelle: Ayudas por arranque y destrucción de palmaceas afectadas por el Rhynchophorus ferrugineus (Oliver 1790)
Base juridique:
— |
Proyecto de Orden de la Consellería de Agricultura, Pesca y Alimentación por la que se modifica la Orden de 24 de febrero de 2004, de la Consellería de Agricultura, Pesca y Alimentación, por la cual se declara la existencia oficial de la Plaga Rhynchophorus ferrugineus (Oliver 1790) en la comunidad Valenciana, se califica de utilidad pública la lucha contra el género Rhynchophorus spp y se establecen las medidas obligatorias para su erradicación y control, |
— |
ley no 43/2002, de 20 de noviembre, de Sanidad Vegetal |
Dépenses annuelles prévues dans le cadre du régime d'aide ou montant total de l'aide individuelle octroyée à l'entreprise bénéficiaire: Le montant des aides prévues par l'arrêté sera imputé au poste budgétaire 12.02.01.542.20, lignes T6130 et T2349, de l'état des dépenses du budget de la Generalitat, et le total des dépenses est estimé à 300 000 EUR par an.
Pour l'ensemble de la période, le total des dépenses est estimé à 1 800 000 EUR
Intensité maximale des aides: Le montant des indemnités dépendra de la variété et de la hauteur du tronc.
BUTIA CAPITATA, BUTIA YATAI
Exemplaires: le mètre linéaire (m.l.) de tronc total vaut 50 EUR.
TRITHRINAX CAMPESTRIS
Exemplaires: le mètre linéaire de tronc total vaut 50 EUR.
Une plante de l'espèce Trithrinax camprestris compte plusieurs ramifications.
Date de la mise en œuvre: À compter de la date de publication du numéro d'enregistrement de la demande d'exemption sur le site web de la direction générale de l'agriculture et du développement rural de la Commission européenne
Durée du régime d'aide ou de l'aide individuelle: Jusqu'au 31 décembre 2013
Objectif de l'aide: Compenser les pertes causées par l'insecte Rhynchophorus ferrugenius (Olivier, 1790) aux agriculteurs et aux particuliers.
Les aides bénéficient de l'exemption prévue à l'article 10, paragraphe 1, du règlement (CE) no 1857/2006 du 15 décembre 2006, concernant l'application des articles 87 et 88 du traité aux aides d'État accordées aux petites et moyennes entreprises actives dans la production de produits agricoles et modifiant le règlement (CE) no 70/2001 (publié au JO du 16 décembre 2006).
Nomenclature statistique des activités économiques des Communautés européennes (NACE):
0129 |
Autres cultures permanentes |
Nom et adresse de l'autorité responsable:
Consellería de Agricultura Pesca y Alimentación |
C/ Amadeo de Saboya no 2 |
E-46010 Valencia |
Adresse du site web: http://www.agricultura.gva.es/especiales/ayudas_agrarias/pdf/ORDEN%20MODIFICACION%202008%20%20RHYNCHOPHORUS%20V.pdf
Autres informations: —
Valence, le 22 octobre 2008
El Director General de Investigación y Tecnología Agroalimentaria
Manuel LAINEZ ANDRÉS
Numéro de l'aide: XA 385/08
État membre: Royaume-Uni
Région: England-Cornwall
Intitulé du régime d'aide ou nom de l'entreprise bénéficiaire de l'aide individuelle: The Heath Project
Base juridique: The Natural Environment and Rural Communities Act 2006
Dépenses annuelles prévues dans le cadre du régime d'aide ou montant total de l'aide individuelle octroyée à l'entreprise bénéficiaire: Le montant annuel total prévu par le régime s'élève à 110 000 GBP pour 2008/2009
Intensité maximale des aides: L'intensité des aides pourra atteindre 100 % conformément à l'article 5 du règlement (CE) no 1857/2006
Date de la mise en œuvre: Le régime s'appliquera à partir du 17 novembre 2008 ou dix jours ouvrables après réception par la Commission européenne du résumé, si cette date est postérieure
Durée du régime d'aide ou de l'aide individuelle: Le régime s'appliquera du 17 novembre 2008 au 31 décembre 2008, cette dernière date correspondant aussi à la date à laquelle sera effectué le dernier paiement
Objectif de l'aide: L'objectif du régime est de remettre en état et de restaurer des éléments du paysage traditionnels sans finalité productive, comme les haies et les systèmes d''approvisionnement en eau de la lande. Ces éléments contribueront au développement d'un modèle de gestion durable de la lande qui enrichira ainsi la qualité exceptionnelle du paysage et la biodiversité en Cornouailles. En vertu de l'article 5, paragraphe 2, du règlement (CE) no 1857/2006, le régime financera une série de travaux d'équipement qui permettront de préserver des éléments du paysage agricole non-productifs
Secteur(s) concerné(s): Ce projet est destiné aux petites et moyennes entreprises actives dans la production agricole
Nom et adresse de l'autorité responsable:
The Heath Project |
Natural England |
Pydar House, Pydar Street |
Truro |
Cornwall TR1 1XU |
United Kingdom |
Adresse du site web: http://www.theheathproject.org.uk/news.html
Autres informations: —
6.3.2009 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 53/12 |
Renseignements communiqués par les États membres sur les aides d'État accordées conformément au règlement (CE) no 1857/2006 de la Commission concernant l'application des articles 87 et 88 du traité aux aides d'État accordées aux petites et moyennes entreprises actives dans la production de produits agricoles et modifiant le règlement (CE) no 70/2001
(2009/C 53/05)
Numéro de l'aide: XA 380/08
État membre: Espagne
Région: Comunitat Valenciana
Intitulé du régime d'aide ou nom de l'entreprise bénéficiaire de l'aide individuelle: Asociación Vinos de la Tierra de Castellón
Base juridique: Ayuda individual nominativa: Presupuestos de la Generalitat 2008, programa 714.60, Línea T2761000-«Impulso de la marca CV»
Dépenses annuelles prévues dans le cadre du régime d'aide ou montant total de l'aide individuelle octroyée à l'entreprise bénéficiaire: 50 000 EUR
Intensité maximale des aides: 100 %
Date de la mise en œuvre: À compter de la date de publication du numéro d'enregistrement de la demande d'exemption sur le site web de la direction générale de l'agriculture et du développement rural de la Commission européenne
Durée du régime d'aide ou de l'aide individuelle: Novembre 2008
Objectif de l'aide: Participation à des expositions et à des foires: activités de promotion de la qualité des produits bénéficiant de la marque de qualité «CV», visant à défendre les caractéristiques intrinsèques propres des produits ainsi qu'à améliorer la capacité professionnelle des opérateurs concernés. Parmi ces activités figurent des actions ayant pour objet d'accroître la notoriété des produits bénéficiant de la marque «CV» auprès des consommateurs. Réalisation d'activités d'information et de promotion diverses à l'occasion des célébrations de la Magdalena. Pour la première fois, constitution d'une équipe de spécialistes en communication pour définir le positionnement des vins du terroir de Castellón. Adaptation de la réglementation sur la base du décret 222/2007 du 9 novembre et élaboration d'un manuel de qualité. Activités prévues aux articles 14 et 15 du règlement (CE) no 1857/2006
Secteur(s) concerné(s): Petites et moyennes entreprises du secteur agroalimentaire de la Communauté de Valence
Nom et adresse de l'autorité responsable:
Consellería de Agricultura, Pesca y Alimentación |
C/ Amadeo de Saboya, no 2 |
E-46010 Valencia |
Adresse du site web: http://www.agricultura.gva.es/especiales/ayudas_agrarias/pdf/Asociaci%F3n%20vinos%20de%20la%20tierra%20de%20Castell%F3n.pdf
Autres informations: —
La Directora General de Comercialización
Marta VALSANGIACOMO GIL
Numéro de l'aide: XA 381/08
État membre: Espagne
Région: Comunitat Valenciana
Intitulé du régime d'aide ou nom de l'entreprise bénéficiaire de l'aide individuelle: Asociación Prof. de Flores, Plantas y Tecnología Hortícola de la C.V.
Base juridique: Ayuda individual nominativa: Presupuestos de la Generalitat 2008, programa 714.60, Línea T2761.000-«Impulso de la Marca CV»
Dépenses annuelles prévues dans le cadre du régime d'aide ou montant total de l'aide individuelle octroyée à l'entreprise bénéficiaire: 60 000 EUR
Intensité maximale des aides: 100 %
Date de la mise en œuvre: À compter de la date de publication du numéro d'enregistrement de la demande d'exemption sur le site web de la direction générale de l'agriculture et du développement rural de la Commission européenne
Durée du régime d'aide ou de l'aide individuelle: Novembre 2008
Objectif de l'aide: Participation à des foires: Iberflora (Valence), IPM (Essen, Allemagne), Salon du Végétal (Angers, France), Four Oaks Trade Show (Manchester, Royaume-Uni) et Garden+Landscaping (Dubaï, Émirats arabes unis). Services de conseil: augmentation du nombre d'espèces couvertes par la réglementation. Activités prévues dans le règlement (CE) no 1857/2006
Secteur(s) concerné(s): Petites et moyennes entreprises du secteur agroalimentaire de la Communauté de Valence
Nom et adresse de l'autorité responsable:
Consellería de Agricultura, Pesca y Alimentación |
C/ Amadeo de Saboya, no 2 |
E-46010 Valencia |
Adresse du site web: http://www.agricultura.gva.es/especiales/ayudas_agrarias/pdf/Asociacion%20profesional%20de%20Flores%20y%20Plantas.pdf
Autres informations: —
La Directora General de Comercialización
Marta VALSANGIACOMO GIL
Numéro de l'aide: XA 382/08
État membre: Espagne
Région: Comunitat Valenciana
Intitulé du régime d'aide ou nom de l'entreprise bénéficiaire de l'aide individuelle: Asociación Pimiento Sol del Pilar
Base juridique: Ayuda individual nominativa: Presupuestos de la Generalitat 2008, programa 714.60, Línea T2761000-«Impulso de la marca CV»
Dépenses annuelles prévues dans le cadre du régime d'aide ou montant total de l'aide individuelle octroyée à l'entreprise bénéficiaire: 40 000 EUR
Intensité maximale des aides: 100 %
Date de la mise en œuvre: À compter de la date de publication du numéro d'enregistrement de la demande d'exemption sur le site web de la direction générale de l'agriculture et du développement rural de la Commission européenne
Durée du régime d'aide ou de l'aide individuelle: Novembre 2008
Objectif de l'aide: Expositions (organisation et participation). Données factuelles relatives au produit générique, à ses avantages nutritionnels et aux utilisations suggérées pour ce produit, ainsi que publications, catalogues ou sites web présentant des informations sur un produit déterminé, le tout s'inscrivant dans le cadre d'activités de promotion du produit bénéficiant de la marque de qualité «CV»; ces activités visent à défendre les caractéristiques intrinsèques du produit, l'objectif étant d'accroître la notoriété des produits auprès des consommateurs. Élaboration d'une vidéo d'information et d'un livre de recettes. Activités prévues à l'article 15 du règlement (CE) no 1857/2006
Secteur(s) concerné(s): Petites et moyennes entreprises du secteur agro-alimentaire de la Communauté de Valence
Nom et adresse de l'autorité responsable:
Consellería de Agricultura, Pesca y Alimentación |
C/ Amadeo de Saboya, no 2 |
E-46010 Valencia |
Adresse du site web: http://www.agricultura.gva.es/especiales/ayudas_agrarias/pdf/Asociacion%20pimiento%20sol%20del%20pilar.pdf
Autres informations: —
La Directora General de Comercialización
Marta VALSANGIACOMO GIL
Numéro de l'aide: XA 388/08
État membre: République fédérale d'Allemagne
Région: Land Brandenburg
Intitulé du régime d'aide: Förderung von Leistungsprüfungen und weiteren Maßnahmen in der Tierzucht
Base juridique: Article 16, paragraphe 1, points a), b) et c), du règlement (CE) no 1857/2006
Richtlinie des Ministeriums für Ländliche Entwicklung, Umwelt und Verbraucherschutz des Landes Brandenburg über die Gewährung von Prämien für die Förderung von Leistungsprüfungen und weiteren Maßnahmen in der Tierzucht vom 14. Februar 2007
Dépenses annuelles prévues dans le cadre du régime d'aide: 0,63 Mio EUR par an
Intensité maximale des aides:
— |
maximum 70 % des frais administratifs liés à l'établissement et à la tenue de livres généalogiques, |
— |
maximum 70 % du coût des tests servant à déterminer la qualité ou le rendement génétique du cheptel, |
— |
maximum 25 % du coût des investissements visant l'introduction dans les exploitations de techniques ou de pratiques de sélection innovantes |
Date de la mise en œuvre: 1.1.2009-31.12.2011
Durée du régime d'aide: 1.1.2009-31.12.2011
Objectif de l'aide: Afin d'aider le secteur de l'élevage, le Land accorde des primes de soutien en ce qui concerne les contrôles du rendement et d'autres mesures dans le secteur de l'élevage.
Sont admissibles:
les dépenses liées aux tests servant à déterminer la qualité ou le rendement génétique du cheptel,
les dépenses liées à l'introduction de techniques ou de pratiques de sélection innovantes, à l'exception des dépenses liées à l'introduction ou à l'exécution d'opérations d'insémination artificielle,
les dépenses administratives liées à l'établissement et à la tenue de livres généalogiques.
Les bénéficiaires de l'aide sont des organisations d'élevage reconnues (conformément à la loi sur l'élevage), des installations de contrôle du rendement ou des associations qui réalisent des contrôles du rendement à la demande du Land Brandenburg conformément à la loi sur l'élevage et qui sont établies au Brandenburg. Le bénéficiaire d'une prime est soumis au contrôle de l'autorité compétente selon la législation du Land.
Des paiements directs aux exploitations d'élevage ne sont pas effectués.
L'exécution de contrôles du rendement est une activité permanente. Le paiement des primes est effectué par année civile et est adapté en fonction de la mesure relative à l'élevage concernée.
La prime est octroyée sous forme de montant forfaitaire. Elle dépend en particulier de l'intérêt public de la mesure et est déterminée en fonction des disponibilités budgétaires.
Les taux de financement fixés conformément aux lignes directrices de la Communauté concernant les aides d'État dans le secteur agricole et forestier du 27 décembre 2006, chapitre IV.L., «Aides au secteur de l'élevage», sont respectés
Secteur(s) concerné(s): Agriculture (production animale)
Nom et adresse de l'autorité responsable:
Landesamt für Verbraucherschutz, Landwirtschaft und Flurneuordnung |
Ringstraße 1010 |
D-15236 Frankfurt/Oder |
Adresse du site web: http://www.mluv.brandenburg.de/cms/media.php/2317/e_tiere.pdf
Autres informations:
Ministerium für ländliche Entwicklung, Umwelt und Verbraucherschutz des Landes Brandenburg |
Referat 23 |
Herr Aust |
Numéro de l'aide: XA 389/08
État membre: Espagne
Région: Galicia
Intitulé du régime d'aide: Prórroga de régimen de Ayudas a Agrupaciones de Defensa Sanitaria (ADSG) registrada con no XA 54/08
Base juridique: Orden … de … de … de …, por la que se establecen las bases reguladoras de las ayudas a las entidades reconocidas como Agrupaciones de Defensa Sanitaria (ADSG) de Galicia y se convocan para el año 2009
Dépenses annuelles prévues dans le cadre du régime d'aide: 3 591 332 EUR
Intensité maximale des aides: 50 % des dépenses totales du programme de l'ADSG
Date de la mise en œuvre: À compter de la date de publication du numéro d'enregistrement de la demande d'exemption sur le site web de la direction générale de l'agriculture et du développement rural de la Commission européenne. Au plus tôt le 1er janvier 2009
Durée du régime d'aide:
Objectif de l'aide: L'aide a pour objet l'amélioration du statut sanitaire des élevages de Galice grâce à la mise en œuvre de programmes communs de prévention des maladies animales et de lutte contre ces maladies.
Sont admissibles les frais de recrutement de techniciens vétérinaires et les frais de matériel.
Le régime est conforme aux dispositions de l'article 10 du règlement (CE) no 1857/2006, lesquelles disposent que les aides destinées à indemniser les agriculteurs des coûts liés à la prévention des maladies animales sont compatibles avec le marché commun
Secteur(s) concerné(s): Élevage
Nom et adresse de l'autorité responsable: Xunta de Galicia
Consellería de Medio Rural
Dirección General de Producción, Industrias y Calidad Agroalimentaria
Adresse du site web: http://mediorural.xunta.es/externos/proxecto_orde_axudas_adsg_2009.pdf
Autres informations: E-mail:
dxpica.mediorural@xunta.es
Maria.soledad.castro.diaz@xunta.es
V Avis
PROCÉDURES ADMINISTRATIVES
Conseil
6.3.2009 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 53/15 |
Appel public à candidatures pour la nomination d'un juge au Tribunal de la fonction publique de l'Union européenne
(2009/C 53/06)
1. |
Le Conseil a décidé, par décision no 2004/752/CE, Euratom (1), d'instituer le Tribunal de la fonction publique de l'Union européenne. Le Tribunal, qui est adjoint au Tribunal de première instance des Communautés européennes et qui a son siège auprès de ce dernier, est compétent pour statuer en première instance sur les litiges entre les Communautés et leurs agents en vertu de l'article 236 du traité CE et de l'article 152 du traité CEEA, y compris les litiges entre tout organe ou organisme et son personnel, pour lesquels compétence est attribuée à la Cour de justice. |
2. |
Le Tribunal de la fonction publique est composé de sept juges, parmi lesquels est choisi son président. Leur mandat est de six ans; il est renouvelable. Les juges sont nommés par le Conseil statuant à l'unanimité, après consultation d'un comité composé de sept personnalités choisies parmi d'anciens membres de la Cour de justice et du Tribunal de première instance et de juristes possédant des compétences notoires. Ce comité donne son avis sur l'adéquation des candidats à l'exercice des fonctions de juge du Tribunal de la fonction publique. Il accompagne cet avis d'une liste des candidats possédant l'expérience de haut niveau la plus appropriée. La liste comporte un nombre de personnes égal au moins au double du nombre de juges à nommer. |
3. |
Le statut et les conditions générales d'exercice des fonctions de juge sont fixés par l'annexe I, article 5 du protocole sur le statut de la Cour de justice tel que modifié par la décision no 2004/752/CE, Euratom. Leurs traitements, pensions et indemnités sont fixés par le règlement (CE, Euratom) no 202/2005 du Conseil du 18 janvier 2005, modifiant le règlement no 422/67/CEE, no 5/67/Euratom portant fixation du régime pécuniaire du président et des membres de la Commission, du président, des juges, des avocats généraux et du greffier de la Cour de justice ainsi que du président, des membres et du greffier du Tribunal de première instance (2). |
4. |
L'un des juges du Tribunal de la fonction publique ayant présenté sa démission, un appel à candidatures est lancé en vue de la nomination d'un juge pour la période allant du 1er septembre 2009 jusqu'au 31 août 2015. |
5. |
Il ressort des dispositions combinées des articles 225 A du traité CE et 140 B du traité CEEA ainsi que de l'annexe I, article 3, du protocole sur le statut de la Cour de justice, tel que modifié par la décision 2004/752/CE, Euratom que les candidats aux fonctions de juge doivent remplir les conditions suivantes:
L'attention des candidats est attirée sur le fait qu'au-delà de ces exigences minimales, le comité précité sera amené à prendre en considération notamment la capacité des candidats à travailler au sein d'une structure collégiale dans un environnement plurinational et multilingue ainsi que la nature, l'importance et la durée de leur expérience appropriée aux fonctions à exercer. |
6. |
Les candidats accompagneront leur candidature d'un curriculum vitae et d'une lettre de motivation ainsi que des photocopies des pièces justificatives. Les candidatures sont à envoyer à l'adresse suivante:
Les candidatures seront expédiées exclusivement par lettre recommandée, au plus tard le 3 avril 2009 (le cachet de la poste faisant foi). Pour faciliter le traitement des candidatures, les candidats sont priés d'envoyer leur curriculum vitae et lettre de motivation également par e-mail, de préférence en format Word (sans utiliser le format PDF) à l'adresse suivante: cdstfp@consilium.europa.eu Cet envoi ne remplace cependant pas l'envoi par lettre recommandée et n'a aucune conséquence quant à l'admissibilité des candidatures. |
(1) JO L 333 du 9.11.2004, p. 7.
(2) JO L 33 du 5.2.2005, p. 1.
PROCÉDURES RELATIVES À LA MISE EN ŒUVRE DE LA POLITIQUE DE CONCURRENCE
Commission
6.3.2009 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 53/17 |
AIDES D'ÉTAT — POLOGNE
Aide d'État C 49/08 (ex N 402/08) — Aide à la restructuration en faveur de PZL Debica
Invitation à présenter des observations en application de l'article 88, paragraphe 2, du traité CE
(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE)
(2009/C 53/07)
Par la lettre du 19 décembre 2008, reproduite dans la langue faisant foi dans les pages qui suivent le présent résumé, la Commission a notifié à la Pologne sa décision d'ouvrir la procédure prévue à l'article 88, paragraphe 2, du traité CE concernant l'aide à la formation liée à la mesure susmentionnée.
Les parties intéressées peuvent présenter leurs observations sur l'aide à l'égard de laquelle la Commission ouvre la procédure, dans un délai d'un mois à compter de la date de publication du présent résumé et de la lettre qui suit, à l'adresse suivante:
Commission européenne |
Direction générale de la concurrence |
Greffe des aides d'État |
Rue de la Loi, 200 |
B-1049 Bruxelles |
Fax (32-2) 296 12 42 |
Ces observations seront communiquées à la Pologne. Le traitement confidentiel de l'identité de la partie intéressée qui présente les observations peut être demandé par écrit, en spécifiant les motifs de la demande.
RÉSUMÉ
PROCÉDURE
Par lettre du 13 août 2008, la Pologne a notifié à la Commission l'aide à la restructuration qu'elle se propose d'accorder à PZL Debica S.A. (ci-après «PZL Debica») sous la forme d'un apport en capital, d'un report pour le remboursement de dettes à l'égard de créanciers publics et d'un prêt bonifié.
DESCRIPTION DU BÉNÉFICIAIRE ET DE LA RESTRUCTURATION
PZL Debica est une grande entreprise, détenue par des investisseurs individuels privés, qui produit des équipements de réfrigération, tels que des compresseurs et des chambres de refroidissement pour les produits agricoles, la construction navale et le marché militaire. La société est établie dans une région pouvant bénéficier d'aides régionales en application de l'article 87, paragraphe 3, point a), du traité CE.
Les mesures notifiées, d'une valeur nominale d'environ 13,5 millions de PLN (3,5 millions d'euros), comprennent un apport en capital et un prêt accordé par un organisme public, ainsi qu'un report pour le remboursement de dettes à l'égard de créanciers publics. En outre, la Pologne a indiqué que la société avait reçu d'autres aides, pour un montant nominal de 8,1 millions de PLN (2,1 millions d'euros). Sur ce montant, la Commission estime que 3,4 millions de PLN avaient été octroyés avant l'adhésion de la Pologne à l'UE et ne sont pas visés par cette enquête, tandis que 4,7 millions de PLN ont été accordés après l'adhésion de la Pologne à l'UE et constituent une aide nouvelle.
Selon les autorités polonaises, PZL Debica connaît des difficultés depuis 2002, date à laquelle un premier plan de restructuration, portant sur la période 2002-2007, a été adopté. Les mesures notifiées doivent être accordées dans le cadre d'un second plan de restructuration, dont la mise en œuvre devrait courir jusqu'en 2013. Les mesures prévues pendant cette période consistent principalement en une restructuration financière. Par ailleurs, PZL Debica a déjà réalisé certains investissements et vendu ou liquidé des actifs redondants et elle prévoit encore d'autres opérations de ce type.
APPRÉCIATION
La Commission considère que les mesures notifiées, d'un montant de 13,5 millions de PLN, ainsi que les aides accordées à la société après l'adhésion de la Pologne à l'UE, d'un montant de 4,7 millions de PLN, constituent des aides d'État au sens de l'article 87, paragraphe 1, du traité CE et sont soumises à l'appréciation, par la Commission, de leur conformité avec les règles applicables aux aides d'État.
La Commission a examiné ces aides au regard des lignes directrices de 2004 concernant les aides d'État au sauvetage et à la restructuration d'entreprises en difficulté.
La Commission a décidé d'ouvrir la procédure prévue à l'article 88, paragraphe 2, du traité CE, car elle doute que toutes les conditions d'autorisation des aides à la restructuration soient remplies, et notamment:
— |
que PZL Debica puisse bénéficier d'une aide à la restructuration, en particulier en raison du fait que, la société s'étant déjà vu octroyer une aide d'État par le passé, le principe de «non-récurrence» pourrait ne pas être respecté, |
— |
que le plan de restructuration permette de rétablir la viabilité à long terme du bénéficiaire, étant donné que le projet consiste essentiellement en une restructuration financière et ne semble pas prévoir de restructuration industrielle en profondeur, |
— |
que l'aide à la restructuration soit limitée au minimum. La contribution propre du bénéficiaire ne semble pas suffisante, ni réelle et effective. Qui plus est, le plan d'entreprise ne prévoit pas de financement externe pour la restructuration, qui démontrerait la confiance des marchés en un retour de l'entreprise à la viabilité, |
— |
qu'une distorsion indue de la concurrence puisse être évitée, dans la mesure où au moins une partie des contreparties alléguées semble nécessaire pour assurer la viabilité à long terme. |
La Commission a demandé à la Pologne des renseignements complémentaires sur ces différents points.
TEXTE DE LA LETTRE
«Komisja pragnie poinformować władze polskie, że po przeanalizowaniu dostarczonych przez nie informacji na temat środków zgłoszonych dnia 13 sierpnia 2008 r., podjęła decyzję o wszczęciu postępowania określonego w art. 88 ust. 2 Traktatu WE.
I. PROCEDURA
(1) |
Pismem z dnia 13 sierpnia 2008 r. władze polskie poinformowały Komisję o planowanych środkach, które mają być przyznane na wsparcie restrukturyzacji przedsiębiorstwa PZL Dębica S.A. (zwanego dalej »PZL Dębica«). |
(2) |
Pismem z dnia 3 października 2008 r. Komisja zwróciła się do władz polskich o dostarczenie niektórych brakujących dokumentów. Zostały one przekazane w dniu 20 października 2008 r. |
II. OPIS BENEFICJENTA I PROCESU RESTRUKTURYZACJI
Beneficjent
(3) |
PZL Dębica jest dużym, całkowicie sprywatyzowanym przedsiębiorstwem będącym własnością prywatnych inwestorów indywidualnych, produkującym urządzenia chłodnicze, takie jak: sprężarki, chillery (agregaty do schładzania cieczy i wytwarzania wody lodowej) dla sektora rolniczego, przemysłu okrętowego i obronnego. Przedsiębiorstwo ma siedzibę na terenie województwa podkarpackiego, tzn. w regionie objętym zakresem art. 87 ust. 3 lit. a) Traktatu WE. Powstało ono w 1938 r., a od 1995 r. jest spółką akcyjną. Nie wchodzi w skład żadnej grupy przedsiębiorstw. W ciągu ostatnich 5 lat w PZL Dębica zmniejszono stan zatrudnienia o 73 osób, osiągając liczbę 424 pracowników w 2006 r. |
(4) |
W 2006 r. przedsiębiorstwo osiągnęło obrót w wysokości 15,9 mln PLN, a jego udział w polskim rynku wynosił 0,64 %. |
Restrukturyzacja i działania restrukturyzacyjne
(5) |
Zgodnie z informacjami przekazanymi przez polskie władze, przedsiębiorstwo znajduje się w trudnej sytuacji finansowej od roku 2002, w którym został przyjęty pierwszy plan restrukturyzacji na lata 2002–2007. |
(6) |
W ramach pierwszego planu restrukturyzacji przedsiębiorstwo skorzystało z wielu środków pomocy państwa, mających w głównej mierze formę odroczenia terminów płatności lub umorzenia należności publicznoprawnych w wysokości 6 866 501,83 PLN. Polskie władze twierdzą, że dokonano umorzenia należności publicznoprawnych jedynie w wysokości 3 422 479,68 PLN, natomiast w sprawie pozostałej kwoty należności publicznoprawnych, wynoszącej 3 444 022,15 PLN, nie podjęto jeszcze ostatecznej decyzji. Komisja przyjmuje więc, że ta kwota należności w dalszym ciągu nie została uregulowana (zob. część 1 i 2 tabeli 1 poniżej) i w związku z tym uważa, że PZL Dębica korzysta ze wsparcia ze strony państwa polegającego na trwałym nieegzekwowaniu zobowiązań publicznoprawnych. |
(7) |
Ponadto przedsiębiorstwo w dalszym ciągu korzysta ze środka pomocy, który według polskich władz stanowi pomoc de minimis o wartości nominalnej 1,2 mln PLN (zob. część 3 tabeli 1 poniżej). |
(8) |
Polskie władze twierdzą, że restrukturyzacja finansowa jest zasadniczym elementem całego procesu restrukturyzacji, ponieważ przedsiębiorstwo, mając nieuregulowane należności publicznoprawne, nie może brać udziału w zamówieniach publicznych ani korzystać ze środków finansowych pochodzących z banków prywatnych. |
(9) |
Polskie władze za najważniejszy powód trudności PZL Dębica uznają niewielki wzrost PKB przed 2005 r. i konieczność dostosowania przez przedsiębiorstwo jego produktów do wymagań ustanowionych w dyrektywach UE, po przystąpieniu Polski do UE. |
(10) |
Jako jedną z podstawowych słabych stron przedsiębiorstwa polskie władze wskazują również przestarzałe urządzenia nabyte w latach 1951–1989. |
(11) |
Przedsiębiorstwo, częściowo w efekcie dotychczasowej modernizacji i obniżenia kosztów, wykazało zysk netto w wysokości 0,13 mln PLN w 2006 r. i 0,27 mln PLN w pierwszej połowie 2007 r. Polskie władze przyznają jednak, że osiągnięcie tych dodatnich wyników końcowych było możliwe przede wszystkim dzięki przychodom ze sprzedaży aktywów, która miała miejsce w ciągu ostatnich lat. |
Drugi plan restrukturyzacji
(12) |
Polska zgłosiła teraz pomoc na restrukturyzację w ramach drugiego planu restrukturyzacji, który ma być realizowany do 2013 r. Z informacji przekazanych przez władze polskie wynika, że lata 2002–2013 należy traktować jako jeden okres restrukturyzacji i że ostatnio opracowany plan restrukturyzacji jest jedynie przedłużeniem pierwszego. |
(13) |
Pomoc państwa w wysokości 13,5 mln PLN, przewidziana na przyszłość w zgłoszonym planie restrukturyzacji (zob. tabela 2 poniżej), polega na:
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(14) |
W całkowitych kosztach restrukturyzacji, wynoszących 34,5 mln PLN (1) (dla całego okresu 2002–2013) 72 % stanowią koszty restrukturyzacji finansowej zaległych zobowiązań. Pozostała kwota została przeznaczona przede wszystkim na inwestycje i modernizację przestarzałych urządzeń. |
(15) |
Polskie władze twierdzą, że niektóre działania restrukturyzacyjne zostały już podjęte: przedsiębiorstwo zbyło zbędne aktywa, dokonało częściowej modernizacji posiadanych urządzeń i zmniejszyło stan zatrudnienia o 71 pracowników. |
(16) |
Zgodnie z planem, zamierzone działania będą w głównej mierze polegały na restrukturyzacji finansowej, która powinna w największym stopniu przyczynić się do poprawy zdolności kredytowej przedsiębiorstwa. Ma ono ponadto zamiar skoncentrować się na działalności podstawowej i w związku z tym sprzedać zbędne aktywa i niepotrzebne urządzenia. Oczekuje się, że efektem tych działań będzie ograniczenie kosztów stałych, uzyskanie funduszy na restrukturyzację i lepsze funkcjonowanie przedsiębiorstwa. |
(17) |
Jako możliwe źródło finansowania restrukturyzacji Polska wskazuje przychód ze sprzedaży aktywów, którego część w wysokości 7,5 mln PLN już uzyskano w ramach pierwszego planu restrukturyzacji, oraz przychód w wysokości 7,6 mln PLN ze sprzedaży planowanej w latach 2008–2013 (2). |
(18) |
Władze polskie twierdzą, że zbyto dwie spółki zależne: zakład narzędziowy i ocynkownię, które były przedsiębiorstwami przynoszącymi zysk. Władze polskie argumentują, że oprócz tego zostały zastosowane również inne środki wyrównawcze, takie jak rezygnacja z produkcji gumowych uszczelek i pewnego typu urządzeń chłodniczych oraz zmniejszenie zdolności produkcyjnych w sferze produkcji sprężarek i agregatów. |
Opis wszystkich środków restrukturyzacyjnych w okresie 2002–2013
(19) |
Organami udzielającymi pomocy są organy podatkowe, władze miejskie, Zakład Ubezpieczeń Społecznych (ZUS), Państwowy Fundusz Rehabilitacji Osób Niepełnosprawnych (PFRON), urzędy skarbowe oraz Agencja Rozwoju Przemysłu S.A. (ARP). |
(20) |
Polskie władze przedłożyły wykaz różnorodnych środków (z podaniem ich wartości nominalnej i kwoty pomocy), które przedstawiono poniżej. Komisja ma wątpliwości co do metody zastosowanej w celu ilościowego ujęcia kwoty pomocy, ponieważ zgodnie z ustaloną praktyką Komisji, może ona osiągnąć do 100 % wartości nominalnej. Tabela 1 Pomoc państwa w ramach pierwszego planu restrukturyzacji
Tabela 2 Pomoc państwa w ramach drugiego planu restrukturyzacji — zgłoszone środki pomocy
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III. OCENA
1. Stosowana procedura
(21) |
Środki pomocy udzielonej przed dniem przystąpienia i niemające zastosowania po przystąpieniu nie mogą być badane przez Komisję ani w ramach procedur określonych w art. 88. Traktatu WE, ani w ramach procedury mechanizmu przejściowego. Mechanizm ten nie upoważnia Komisji ani nie wymaga od niej dokonywania przeglądu środków pomocy, które nie mają zastosowania po dniu przystąpienia. |
(22) |
Pomoc uznaje się za udzieloną przed dniem przystąpienia, jeżeli właściwy organ przyjął przed dniem 1 maja 2004 r. prawnie wiążący akt, na mocy którego zobowiązał się do udzielenia pomocy. Pomoc indywidualna nie ma zastosowania po dniu przystąpienia, jeżeli dokładne zaangażowanie ekonomiczne państwa jest znane momencie przyznawania pomocy. |
(23) |
Jeżeli natomiast środki zostały przyznane po dniu przystąpienia, wówczas stanowią one nową pomoc, której zgodność ze wspólnym rynkiem Komisja ocenia zgodnie z procedurą ustanowioną w art. 88 Traktatu WE. |
(24) |
Właściwym kryterium w celu ustalenia, czy środki pomocy zostały ostatecznie i bezwarunkowo przyznane w danej wysokości przed dniem przystąpienia jest prawnie wiążący akt, na mocy którego właściwe organy krajowe zobowiązują się do udzielenia pomocy. Jeżeli taki akt nie istnieje, uznaje się, że środek nie został przyznany przed przystąpieniem i stanowi on nową pomoc, której zgodność ze wspólnym rynkiem Komisja ocenia na podstawie art. 87 i 88 Traktatu WE. |
(25) |
Informacje przekazane przez władze polskie pozwoliły Komisji ustalić, które środki zostały przyznane przez dniem przystąpienia i nie mają zastosowania po przystąpieniu. Zostały one przedstawione w części 1 tabeli 1, a ich wartość wynosi 3 422 479,68 PLN. W odniesieniu do środków wykazanych w części 2 tabeli 1 nie został przedstawiony Komisji żaden prawnie wiążący akt, na mocy którego właściwe organy krajowe zobowiązują się do udzielenia pomocy, dlatego też Komisja nie może uznać tych środków za przyznane przed dniem przystąpienia (4). Jeżeli taki akt nie istnieje, oznacza to, że środek nie został przyznany przed dniem przystąpienia i stanowi on nową pomoc, której zgodność ze wspólnym rynkiem ocenia Komisja. |
(26) |
Komisja ma ponadto wątpliwości, czy środki wykazane w części 3 tabeli 1 są na poziomie de minimis i wobec tego nie zawierają elementu pomocy oraz czy ekwiwalent dotacji w ich przypadku został wyliczony prawidłowo. Nominalna wartość tych środków odpowiada kwocie 1 247 368 PLN (0,32 mln EUR (5)), która jest wyższa od progu de minimis ustalonego na poziomie 200 000 EUR na okres trzech lat. W związku z tym, że przedsiębiorstwo znajdowało się w trudnej sytuacji w czasie podejmowania środków, Komisja ma wątpliwości, czy wyliczenie elementu pomocy jest faktycznie prawidłowe. |
(27) |
Reasumując, Komisja traktuje niezgłoszoną pomoc, ujętą w części 1 tabeli 1, jako udzieloną przed dniem przystąpienia i niemającą zastosowania po przystąpieniu. Komisja ma wątpliwości, czy środki pomocy, przedstawione w części 2 tabeli 1, mogą być traktowane jako pomoc udzielona przed dniem przystąpienia i wobec tego uznaje je za nową pomoc. I wreszcie Komisja ma wątpliwości, czy pomoc wykazana w części 3 może być uznana za pomoc de minimis i wobec tego będzie ją traktować jako pomoc na restrukturyzację, a jej kwotę doda do całkowitych kosztów restrukturyzacji finansowej. |
(28) |
Środki pomocy zgłoszone przez władze polskie w ramach drugiego planu restrukturyzacyjnego przedstawiono w tabeli 2. |
2. Pomoc państwa w rozumieniu art. 87 ust 1 Traktatu WE
(29) |
W art. 87 ust. 1 Traktatu WE stwierdza się, że wszelka pomoc przyznawana przez państwo członkowskie lub przy użyciu zasobów państwowych w jakiejkolwiek formie, która zakłóca lub grozi zakłóceniem konkurencji, poprzez sprzyjanie niektórym przedsiębiorstwom lub produkcji niektórych towarów, i wpływa na wymianę handlową między państwami członkowskimi, jest niezgodna ze wspólnym rynkiem. |
(30) |
Pożyczka, wniesienie dodatkowego kapitału, umorzenie zobowiązań, odroczenie terminu zapłaty i ustalenia dotyczące rozłożenia na raty płatności zobowiązań wobec podmiotów publicznych stanowią pomoc z zasobów państwowych. Oprócz tego przynoszą one korzyść przedsiębiorstwu w formie obniżenia jego kosztów. PZL Dębica, jako przedsiębiorstwo znajdujące się w trudnej sytuacji, nie uzyskałoby na rynku tego rodzaju finansowania na takich warunkach. Taka korzyść zakłóca konkurencję. Władze polskie zgłosiły wniesienie dodatkowego kapitału jako pomoc na restrukturyzację i nie kwestionowały tego, że inne środki stanowią pomoc państwa. Komisja nie zgadza się ze stwierdzeniem władz polskich dotyczącym uznania niektórych środków za pomoc de minimis (zob. pkt 26 powyżej). Ponadto, art. 1 lit h) rozporządzenia nr 1998/2006 (6) dotyczącego pomocy de minimis stanowi: »(…) Niniejsze rozporządzenie stosuje się do pomocy przyznawanej podmiotom gospodarczym we wszystkich sektorach, z wyjątkiem: (…) h) pomocy przyznawanej podmiotom gospodarczym znajdującym się w trudnej sytuacji«. Co więcej, zgodnie z pkt 16 wytycznych: »od momentu, w którym plan restrukturyzacji lub likwidacji, dla którego wnioskowano o pomoc, został ustanowiony i jest wdrażany, każda kolejna pomoc jest uznawana za pomoc w celu restrukturyzacji«. W związku z tym Komisja zastanawia się, czy nie powinna uznać tej pomocy za niezgłoszoną pomoc przeznaczoną na restrukturyzację. |
(31) |
Beneficjent działa na rynku urządzeń chłodniczych i wywozu do innych państw członkowskich UE. Kryterium wpływu na wymianę handlową we Wspólnocie ma tu pełne zastosowanie. |
(32) |
W związku z powyższym środki, które nie zostały przyznane przed przystąpieniem i stanowią nową pomoc, uznaje się za pomoc państwa w rozumieniu art. 87 ust. 1 Traktatu WE. Nie zostało to zakwestionowane przez polskie władze. |
3. Zwolnienie na mocy art. 87 ust. 3 Traktatu WE
(33) |
W niniejszym przypadku nie mają zastosowania odstępstwa, o których mowa w art. 87 ust. 2 Traktatu WE. Z uwagi na to, że podstawowym celem pomocy jest przywrócenie długoterminowej rentowności przedsiębiorstwu znajdującemu się w trudnej sytuacji, spośród odstępstw przewidzianych w art. 87 ust. 3 Traktatu WE można zastosować jedynie odstępstwo określone w art. 87 ust. 3 lit. c) Traktatu WE, które zezwala na pomoc państwa przeznaczoną na ułatwianie rozwoju niektórych działań gospodarczych, jeżeli nie ma ona wpływu na zmianę warunków wymiany handlowej w zakresie sprzecznym ze wspólnym interesem. Dlatego też pomoc ta może być uznana za zgodną na mocy art. 87 ust. 3 lit. c) Traktatu WE tylko wtedy, gdy spełnione są warunki określone w Wytycznych wspólnotowych dotyczących pomocy państwa w celu ratowania i restrukturyzacji zagrożonych przedsiębiorstw (7) (zwanych dalej »wytycznymi«). |
(34) |
Warto zaznaczyć, że w celu oceny zgodności środków nowej pomocy na restrukturyzację, należy przeanalizować cały plan restrukturyzacji zatwierdzony przez władze i wszystkie środki pomocy, by można było stwierdzić, czy w wyniku realizacji planu i przy ograniczeniu pomocy do niezbędnej kwoty rentowność przedsiębiorstwa zostanie przywrócona. W związku z tym w ocenie zgodności nowej pomocy na podstawie kryteriów określonych w wytycznych pod uwagę należy wziąć wszystkie środki pomocy na restrukturyzację, a nie tylko środki nowej pomocy. |
4. Przywrócenie rentowności
(35) |
Aby środek został uznany za zgodny na podstawie pkt 34–37 wytycznych, w planie restrukturyzacji muszą być określone metody przywracania długoterminowej rentowności i dobrej kondycji przedsiębiorstwa w rozsądnych ramach czasowych. Taki plan należy przygotować w oparciu o realistyczne założenia dotyczące przyszłych warunków działania. |
(36) |
Komisja nie jest przekonana co do tego, czy w oparciu o przedstawiony plan przedsiębiorstwo zdoła przywrócić długoterminową rentowność. |
(37) |
Po pierwsze wydaje się, że proces restrukturyzacji jest ukierunkowany przede wszystkim na aspekty finansowe i nie uwzględniono w nim środków restrukturyzacji przemysłowej. |
(38) |
Ponadto Komisja na tym etapie ma wątpliwości, czy ocena problemów przedsiębiorstwa została dokonana w stopniu wystarczającym i czy w związku z tym wybór instrumentów, które mają doprowadzić do rozwiązania jego problemów jest właściwy. W planie restrukturyzacji w zasadzie nie określono prawidłowo powodów trudności przedsiębiorstwa. Jest w nim przede wszystkim mowa o aspektach zewnętrznych, a nie porusza się kwestii problemów o charakterze strukturalnym. |
(39) |
I wreszcie, ponieważ została opracowana druga wersja planu restrukturyzacji, wydaje się, że plan w poprzedniej wersji nie przyczynił się w wystarczającym stopniu do przezwyciężenia trudności beneficjenta, a to budzi wątpliwości dotyczące wiarygodności całego procesu restrukturyzacji i nasuwa przypuszczenie, że przedsiębiorstwo będzie potrzebowało w przyszłości kolejnej pomocy. Co więcej ze względu na to, że poprzednia wersja planu restrukturyzacji jest niedostępna, Komisja nie może ocenić szans powodzenia całego procesu restrukturyzacji (8). |
5. Zasada »pierwszy i ostatni raz«
(40) |
Zgodnie z pkt 3.3. wytycznych, pomoc na restrukturyzację powinna być przyznawana tylko jeden raz. Jeżeli dane przedsiębiorstwo w przeszłości otrzymało już pomoc na restrukturyzację i jeżeli upłynęło mniej niż 10 lat od momentu, w którym nastąpił koniec okresu restrukturyzacji, Komisja w normalnych warunkach zezwoli na udzielenie dalszej pomocy na restrukturyzację tylko w wyjątkowych i niedających się przewidzieć okolicznościach. |
(41) |
Przedsiębiorstwo korzystało już z pomocy państwa w 2001 r. (zob. środek 2 w tabeli 1) i Komisja ma wątpliwości, czy zasada »pierwszego i ostatniego razu« jest spełniona. Komisja przypuszcza, że przedsiębiorstwo w rzeczywistości znajduje się w trudnej sytuacji od 2001 r. i stąd nie jest przekonana, czy w istocie może rozpatrywać lata 2001–2013 jako jeden okres restrukturyzacji. Ten okres jest tak długi nie dlatego, że od początku przewidywano, że proces restrukturyzacji potrwa 12 lat, lecz ponieważ poprzedni plan nie doprowadził do przywrócenia długoterminowej rentowności przedsiębiorstwa. Jeśli przyjąć ten okres za jeden okres restrukturyzacji, czas trwania tego procesu wydaje się o wiele za długi. Punkt 35 wytycznych zawiera wyraźne stwierdzenie, że czas trwania planu restrukturyzacji musi być możliwie najkrótszy. W związku z tym wydaje się, że okres 13 lat nie może zostać przez Komisję zaakceptowany. |
(42) |
Nawet jeśli Komisja nie może oceniać zgodności części pomocy przyznanej przedsiębiorstwu PZL Dębica (jako że została ona udzielona przed przystąpieniem), nie przeszkadza jej to w dokonaniu oceny stanu faktycznego w związku z interpretacją zasady »pierwszy i ostatni raz«. Komisja jest zdania, że wspomniana zasada powinna znaleźć zastosowanie w niniejszej sprawie, mimo że pomoc na cele restrukturyzacji została przyznana przed przystąpieniem Polski do Unii Europejskiej. Dzieje się tak dlatego, że przy ocenie konieczności zastosowania tej zasady Komisja uwzględni jedynie stan faktyczny, tj. dokona rozpoznania, czy przedsiębiorstwo znajdowało się w trudnej sytuacji w ciągu ostatnich 10 lat i czy miało możliwość przezwyciężenia tych trudności. W związku z tym, jeśli władze polskie w omawianej sprawie nie przedstawią dowodów na istnienie wyjątkowych okoliczności, takich jak np. nieistnienie w 2001 r. efektywnej gospodarki rynkowej, Komisja będzie mieć wątpliwości, czy obecna pomoc restrukturyzacyjna nie jest niezgodna z zasadą »pierwszego i ostatniego razu«. |
6. Ograniczenie pomocy do minimum
(43) |
Zgodnie z pkt 43–45 wytycznych pomoc musi być ograniczona do ścisłego minimum, niezbędnego do umożliwienia restrukturyzacji przedsiębiorstwa. Pomoc nie może być udzielona w formie stanowiącej dla przedsiębiorstwa nadwyżkę środków pieniężnych, którą mogłoby ono wykorzystać do agresywnych działań zakłócających rynek, niezwiązanych z procesem restrukturyzacji. |
(44) |
W szczególności od beneficjenta pomocy oczekuje się wniesienia znaczącego wkładu w proces restrukturyzacji z środków własnych lub uzyskanych na warunkach rynkowych z zewnętrznych źródeł finansowania. W wytycznych podkreśla się, że znaczna część środków finansowych na restrukturyzację musi pochodzić z zasobów własnych, między innymi ze sprzedaży aktywów, które nie są niezbędne do dalszego istnienia przedsiębiorstwa, i uzyskanych na warunkach rynkowych z zewnętrznych źródeł finansowania. |
(45) |
Komisja ma wątpliwości, czy własny wkład beneficjenta jest znaczny, pozwala na ograniczenie pomocy do niezbędnego minimum i czy osiąga minimalny poziom 50 % całkowitych kosztów restrukturyzacji. |
(46) |
Na podstawie informacji przedstawionych przez polskie władze można przyjąć, że poziom udziału własnego w całkowitych kosztach restrukturyzacji nie mógł przekraczać 43 %. Ta wartość w dalszym ciągu budzi zastrzeżenia, ponieważ Komisja nie jest w pełni przekonana co do powodzenia sprzedaży aktywów przewidywanej w przyszłości. |
7. Unikanie nadmiernego zakłócania konkurencji
(47) |
Zgodnie z pkt 38–42 wytycznych należy przyjąć środki w możliwie największym stopniu łagodzące potencjalne negatywne skutki pomocy dla konkurentów. Pomoc nie może nadmiernie zakłócać konkurencji. Wiąże się to zazwyczaj z ograniczeniem obecności przedsiębiorstwa na rynku po zakończeniu restrukturyzacji. Obowiązkowe ograniczenie lub zmniejszenie obecności firmy na danym rynku jest czynnikiem kompensującym na korzyść jego konkurentów. Ograniczenie takie powinno być proporcjonalne do zakłócenia, które wywołała pomoc na rynku oraz do względnego znaczenia firmy na rynku lub rynkach. |
(48) |
Zgodnie z pkt 56 wytycznych warunki przyznania pomocy są mniej restrykcyjne w przypadku wdrożenia środków wyrównawczych na obszarach wspieranych. Analizując wpływ pomocy na restrukturyzację na rynek i konkurencję, Komisja weźmie pod uwagę to, że przedsiębiorstwo PZL Dębica jest zlokalizowane na obszarze wspieranym w rozumieniu art. 87 ust. 3 lit. a) Traktatu WE. |
(49) |
Komisja nie jest przekonana co do tego, czy proponowane środki mają charakter rzeczywiście wyrównawczy i nie są konieczne jedynie w celu przywrócenia długoterminowej rentowności przedsiębiorstwa, ponieważ gdyby było inaczej, nie kwalifikowałyby się jako środki wyrównawcze w rozumieniu wytycznych. Wątpliwość dotyczy w szczególności tych środków, w przypadku których Polska nie wykazała, że zaniechane formy działalności lub sprzedane spółki zależne nie przynosiły strat. |
(50) |
Ponadto wydaje się, że pozostałe środki mają na celu optymalizację zdolności produkcyjnych, obecnie częściowo niewykorzystanych, a zatem są przypuszczalnie również niezbędne do przywrócenia rentowności i jako takie, zgodnie z wytycznymi, nie mogą być uznane za środki wyrównawcze. |
(51) |
Pozostałe proponowane działania podejmowano już w przeszłości i nie wydaje się, by mogły one stanowić środki wyrównawcze w przypadku planowej pomocy, która ma być przyznana w przyszłości. |
IV. DECYZJA
(52) |
W związku z powyższym Komisja:
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(53) |
W świetle niniejszych rozważań Komisja, działając na mocy procedury określonej w art. 88 ust. 2 Traktatu WE, zwraca się do władz polskich o przedłożenie uwag i dostarczenie wszelkich informacji, które mogą być pomocne w ocenie przedmiotowej pomocy, w terminie jednego miesiąca od otrzymania niniejszego pisma. Między innymi należy przedłożyć:
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(54) |
Komisja zwraca się do polskich władz z prośbą o niezwłoczne przekazanie kopii niniejszego pisma odbiorcy pomocy. |
(55) |
Komisja pragnie przypomnieć władzom polskim, że art. 88 ust. 3 Traktatu WE ma skutek zawieszający i zwraca uwagę na art. 14 rozporządzenia Rady (WE) nr 659/1999, który stanowi, że wszelka pomoc niezgodna z prawem może zostać odzyskana od beneficjenta. |
(56) |
Komisja uprzedza władze polskie, że udostępni zainteresowanym stronom informacje poprzez opublikowanie niniejszego pisma wraz z jego streszczeniem w Dzienniku Urzędowym Unii Europejskiej. Poinformuje również zainteresowane strony w krajach EFTA, będących sygnatariuszami porozumienia EOG, publikując zawiadomienie w Suplemencie EOG do Dziennika Urzędowego Unii Europejskiej oraz poinformuje Urząd Nadzoru EFTA, przesyłając kopię niniejszego pisma. Wszystkie zainteresowane strony zostaną wezwane do przedstawienia uwag w ciągu jednego miesiąca od dnia publikacji.» |
(1) Zdaniem Komisji całkowite koszty restrukturyzacji są nieco wyższe od podanych przez polskie władze (30,3 mln PLN). W istocie Polska podaje koszty restrukturyzacji zaległych zobowiązań z odroczonym terminem spłaty jako kwotę pomocy przyznanej na ten cel. Zgodnie z ustaloną praktyką Komisja uważa, że do wyliczenia kosztów restrukturyzacji należy przyjąć nominalną kwotę zaległych zobowiązań z odroczonym terminem spłaty.
(2) Polska ostatnio poinformowała Komisję, że zrealizowano już sprzedaż aktywów o wartości 1 537 700 PLN.
(3) Władze polskie twierdzą, że ten środek został przyznany w dniu 20.10.2003 r. Nie przedstawiono jednak Komisji żadnego prawnie wiążącego aktu, w którym władze krajowe zobowiązują się do udzielenia pomocy, dlatego też Komisja nie może uznać tego środka za przyznany w tym dniu. Polska potwierdza również, że naliczane są odsetki i że do czasu podjęcia formalnej decyzji o umorzeniu zadłużenia kwota zobowiązania będzie rosła.
(4) Władze polskie wspominają jedynie o przyrzeczeniu administracyjnym, nie wydano jednak żadnego aktu prawnie wiążącego. Zobowiązania nie zostały jeszcze uregulowane i ich kwota rośnie w związku z naliczanymi odsetkami.
(5) Wszystkie kwoty podane przez polskie władze w złotych polskich (PLN) zostały przeliczone na euro (EUR) przy zastosowaniu kursu wymiany z dnia 18 listopada 2008 r. wynoszącego 1 EUR = 3,86 PLN.
(6) Rozporządzenie Komisji (WE) nr 1998/2006 z dnia 15 grudnia 2006 r. w sprawie stosowania art. 87 i 88 Traktatu do pomocy de minimis, Dz.U. L 379 z 28.12.2006, s. 5–10.
(7) Dz.U. C 244 z 1.10.2004, s. 2.
(8) Sprawozdania finansowe za 2007 r., takie jak bilans, rachunek zysków i strat oraz rachunek przepływów pieniężnych również nie zostały udostępnione Komisji.
6.3.2009 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 53/25 |
Notification préalable d'une concentration
(Affaire COMP/M.5486 — Vodafone/Hutchison Whampoa/JV)
Cas susceptible d'être traité selon la procédure simplifiée
(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE)
(2009/C 53/08)
1. |
Le 26 février 2009, la Commission a reçu notification, conformément à l'article 4 du règlement (CE) no 139/2004 du Conseil (1), d'un projet de concentration par lequel l'entreprise Vodafone Australia Limited («VAL», Australie) appartenant au groupe Vodafone Group Plc («Vodafone», Royaume-Uni) fusionne, au sens de l'article 3, paragraphe 1, point a), du règlement du Conseil, avec l'entreprise Hutchison 3G Australia Limited («H3GA», Australie) appartenant au groupe Hutchison Whampoa Limited («HWL», Hong Kong). La nouvelle entité (l'«entreprise commune», Australie) sera contrôlée conjointement par Vodafone et HWL. |
2. |
Les activités des entreprises considérées sont les suivantes:
|
3. |
Après examen préliminaire et sans préjudice de sa décision définitive sur ce point, la Commission estime que l'opération notifiée pourrait entrer dans le champ d'application du règlement (CE) no 139/2004. Conformément à la communication de la Commission relative à une procédure simplifiée de traitement de certaines opérations de concentration en application du règlement (CE) no 139/2004 du Conseil (2), il convient de noter que ce cas est susceptible d'être traité selon la procédure définie par ladite communication. |
4. |
La Commission invite les tiers intéressés à lui présenter leurs observations éventuelles sur le projet de concentration. Ces observations devront lui parvenir au plus tard dans un délai de dix jours à compter de la date de la présente publication. Elles peuvent être envoyées par fax [(32-2) 296 43 01 ou 296 72 44] ou par courrier, sous la référence COMP/M.5486 — Vodafone/Hutchison Whampoa/JV, à l'adresse suivante:
|
(1) JO L 24 du 29.1.2004, p. 1.
(2) JO C 56 du 5.3.2005, p. 32.
6.3.2009 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 53/26 |
Notification préalable d'une concentration
(Affaire COMP/M.5152 — Posten AB/Post Danmark A/S)
(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE)
(2009/C 53/09)
1. |
Le 26 février 2009 la Commission a reçu notification, conformément à l'article 4 du règlement (CE) no 139/2004 du Conseil (1), d'un projet de concentration par lequel l'entreprise Posten AB («Posten», Suède), contrôlée par le Royaume de Suède, fusionne au sens de l'article 3, paragraphe 1, point a), du règlement du Conseil, avec Post Danmark A/S («Post Danmark», Danemark), contrôlée par le Royaume du Danemark, par échange d'actions. |
2. |
Les activités des entreprises considérées sont les suivantes:
|
3. |
Après examen préliminaire et sans préjudice de sa décision définitive sur ce point, la Commission estime que l'opération notifiée pourrait entrer dans le champ d'application du règlement (CE) no 139/2004. |
4. |
La Commission invite les tiers intéressés à lui présenter leurs observations éventuelles sur le projet de concentration. Ces observations devront parvenir à la Commission au plus tard dans un délai de dix jours à compter de la date de la présente publication. Elles peuvent être envoyées par fax [(32-2) 296 43 01 ou 296 72 44] ou par courrier, sous la référence COMP/M.5152 — Posten AB/Post Danmark A/S, à l'adresse suivante:
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(1) JO L 24 du 29.1.2004, p. 1.
AUTRES ACTES
Commission
6.3.2009 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 53/27 |
Avis concernant une demande au titre de l'article 30 de la directive 2004/17/CE
Demande émanant d'une entité adjudicatrice
(2009/C 53/10)
En date du 26 février 2009 la Commission a reçu une demande au titre de l'article 30, paragraphe 5, de la directive 2004/17/CE du Parlement européen et du Conseil du 31 mars 2004 portant coordination des procédures de passation des marchés dans les secteurs de l'eau, de l'énergie, des transports et des services postaux (1). Le premier jour ouvrable suivant la réception de la demande est le 27 février 2009.
Cette demande, émanant de Nederlandse Aardolie Maatschappij B.V., concerne l'exploration et l'extraction du pétrole et du gaz au Pays-Bas. L'article 30 précité prévoit que la directive 2004/17/CE ne s'applique pas lorsque l'activité en question est directement exposée à la concurrence, sur des marchés dont l'accès n'est pas limité. L'évaluation de ces conditions est faite exclusivement au titre de la directive 2004/17/CE et ne préjuge pas de l'application des règles de concurrence.
La Commission dispose d'un délai de trois mois à partir du jour ouvrable visé ci-dessus pour prendre une décision concernant cette demande. Le délai expire donc le 27 mai 2009.
Ce délai pourra éventuellement être prolongé de trois mois. Une telle prolongation ferait l'objet de publication.
Aux termes de l'article 30, paragraphe 6, deuxième alinéa, des nouvelles demandes concernant l'exploration et l'extraction du pétrole et du gaz au Pays-Bas, qui seraient présentées avant le terme du délai prévu pour la présente demande, ne sont pas considérées comme donnant lieu à de nouvelles procédures et seront traitées dans le cadre de la présente demande.
(1) JO L 134 du 30.4.2004, p. 1.