7.6.2022 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 222/39 |
Recours introduit le 22 avril 2022 — Synesis/Conseil
(Affaire T-215/22)
(2022/C 222/64)
Langue de procédure: l’allemand
Parties
Partie requérante: Synesis TAA (Minsk, Biélorussie) (représentants: G. Lansky et A. Egger, avocats)
Partie défenderesse: Conseil de l’Union européenne
Conclusions
La partie requérante conclut à ce qu’il plaise au Tribunal:
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annuler, conformément à l’article 263 TFUE, la décision (PESC) 2022/307 du Conseil du 24 février 2022 modifiant la décision 2012/642/PESC concernant des mesures restrictives en raison de la situation en Biélorussie (JO L 46, p. 97) ainsi que le règlement d’exécution (UE) 2022/300 du Conseil du 24 février 2022 mettant en œuvre l’article 8 bis, du règlement (CE) no 765/2006 concernant des mesures restrictives en raison de la situation en Biélorussie (JO L 46, p. 3) pour autant qu’ils concernent la partie requérante; |
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condamner le Conseil aux dépens de la procédure conformément à l’article 134 du règlement de procédure du Tribunal. |
Moyens et principaux arguments
La partie requérante fait valoir, comme motivation de l’illégalité des actes juridiques attaqués, pour autant qu’ils la concernent, un moyen unique selon lequel le Conseil a commis une erreur manifeste d’appréciation et a en particulier violé son obligation d’examen. Le Conseil n’aurait pas avancé de preuves concrètes justifiant la validité de l’inscription de la partie requérante sur la liste dans les actes juridiques attaqués.